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23 décembre 2017 6 23 /12 /décembre /2017 09:47

Défaut de prononciation

- Bonjour Mademoiselle, je suis Maurice Durand, représentant des aspirateurs Ventilex. Je pourrais voir ta maman ?

- Maman n'est pas là, elle fait le tapin en ce moment.

- ?? ... Et par hasard, peut-être, ta grand-mère habite ici. Est-ce que je pourrais la voir ?

- Pas possible elle fait le tapin aussi.

- ???? ... Est-ce que tu as une grande soeur que je pourrais voir ?

- Oui, j'ai ma grande soeur Ingrid et elle a 12 ans. Mais elle fait le tapin avec maman et mamie. >

- ???????? ... Bon, et ton papa, je peux le voir ?

- Mais non, il est avec maman, mamie et Ingrid. Il fait le tapin avec elles.

- Hé bien ça alors, je n'ai jamais vu ça ! Drôle de famille... Et où font-ils le tapin ?

- Ben dans le talon, t'en fais pas de tapin à Noël, toi ?

 

Un artiste-peintre se rend à la galerie qui expose ses oeuvres pour jauger de l'intérêt que suscitent ses toiles auprès des amateurs d'art. 
Le responsable des lieux lui explique sans

Published by Un Sage
22 décembre 2017 5 22 /12 /décembre /2017 09:50

 Anne Hidalgo, accro à sa voiture

 Selon une enquête de Caradisiac, la maire de Paris fait du vélo pour la galerie, mais se déplace exclusivement en voiture. Faites ce que je dis…

Par Sophie Coignard

"ça c'est pour la galerie"

Certes, il s'agit d'un site consacré à l'automobile, caradisiac, donc peu suspect de sympathie envers la politique anti-voitures menée par Anne Hidalgo. Mais la vidéo qu'il a mise en ligne à la suite de deux mois de filature est néanmoins très éclairante sur la conduite qu'adopte la maire de Paris, au quotidien, pour ses propres déplacements. Elle monte sur son vélo devant les caméras, mais son véhicule de fonction l'attend quelques mètres plus loin, pour la récupérer une fois l'opération de communication terminée.

« Les Parisiens, pour neuf sur dix d'entre eux, n'utilisent pas leur voiture

Published by Un Sage
22 décembre 2017 5 22 /12 /décembre /2017 09:35

Un homme amène sa femme au restaurant.Le serveur arrive, le remarque et lui dit :- Bienvenue monsieur Robert ! Ce sera comme d'habitude je suppose?

ensemble, mais une mocheté comme ça, c'est une première! La femme demande à son mari :- Robert ? Tu es déjà venu ici?- Mais non voyons chérie, pourquoi je serais venu ici?

Sur la petite scène à coté du piano, la chanteuse prend le micro et annonce :- Et maintenant, pour notre ami Robert à la table 7, sa chanson préférée : you're my love.- Robert ?

Tu es déjà venu ici, ne me mens pas.- Mais non chérie, je te jure ! Ils doivent me confondre avec quelqu'un d'autre!Et le repas continue sur le même ton.A la fin du repas, le maître d'hôtel vient les voir :- Alors mon cher ami, je vous appelle un taxi?- Robeeeert??- Mais chérie, je te jure!

Le taxi fini par arriver, ils montent dedans, et s'en vont.Et le chauffeur finit par se retourner et dit à Robert :- Eh bah mon vieux, on en a ramené des femmes mais une mocheté comme ça, c'est une première !!

Published by Un Sage
21 décembre 2017 4 21 /12 /décembre /2017 18:00

Un chien mal élevé mais adulé par Macron

Némo, le chien présidentiel n'a de cesse de se faire remarquer. Si son comportement facétieux peut prêter à sourire, il a quand même bien failli coûter la vie à la Première dame...

Ce n'est pas toujours évident pour Brigitte et Emmanuel Macron d'assumer leur chien,

Tel chien tel maître!!

Némo. S'il est capable de ''mettre'' la honte à son maître, il peut aussi parfois avoir des comportements dangereux pour sa maîtresse. 

En studio, pour l'émission des Grosses Têtes, Bernard Mabille a raconté comment l'animal avait mis en danger la Première dame, alors qu'ils étaient en train de faire une promenade sur les Champs Elysées, "aux alentours de 19h30", rapporte Voici.

Le fougueux Némo a encore fait des siennes. Et c'est la Première dame qui a failli en faire les frais cette semaine, comme l'a raconté Bernard Mabille cette semaine dans Les Grosses Têtes sur RTL.

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Depuis son arri­vée à l’Ely­sée, Némo, le chien prési­den­tiel, n’en fait qu’à sa tête. Dernière preuve en date lors d’une balade mouve­men­tée avec Brigitte Macron (et trois body­guards) sur les Champs Elysées.

Loca­taire turbu­lent de l’Ely­sée depuis le mois d’août, le chien Némo ne cesse d’en faire voir de toutes les couleurs à Brigitte et Emma­nuel Macron.

Brigitte et Nemo en ballade

Il y a deux mois de cela, devant les camé­ras de LCI, le chien prési­den­tiel n’hé­si­tait pas à lever la patte sur une chemi­née du Château, en pleine réunion d’Em­ma­nuel Macron et son staff, hila­res… La dernière anec­dote savou­reuse sur Nemo a été racon­tée dans les Grosses Têtes de RTL. C’est Bernard Mabille qui a repéré Brigitte Macron en fâcheuse posi­tion sur les Champs-Elysées avec l’in­con­trô­lable Nemo en Laisse !

 « J’ai failli écra­ser [Brigitte Macron], a raconté Bernard Mabille à Laurent Ruquier et sa bande. Je vous jure que c’est vrai ! Elle n’a pas fait gaffe aux feux de signa­li­sa­tion. Je tour­nais sur les Champs-Elysées et je vois arri­ver une bombe… Pas sexuelle, mais une bombe qui allait très très vite, tirée par un chien , par Nemo , avec trois gardes du corps. »

Ne tenant pas compte du piéton rouge sur le feu de signa­li­sa­tion, Brigitte Macron s’est faite traî­ner sur toute la traver­sée de l’ave­nue la plus célèbre du monde par un Nemo plus qu’au taquet. Heureusement que les trois "gorilles" étaient là pour stop­per la circu­la­tion lors de ce convoi excep­tion­nel en pleine heure de pointe : « Il était dans les alen­tours de 19h30 », a précisé Bernard Mabille. On est passés à ÇA de la catas­trophe !

Une petite balade qui a certainement ravi le canidé toujours partant pour se dépenser.

En effet depuis son arrivée, Nemo très mal élevé ,se fait régulièrement remarquer avec ses mauvaises manières. Après avoir uriné sur le sol de l'Elysée, le chien a mangé les chaussures du président comme le rapportent nos confrères de Paris Match : "Ce n'est pas le chien le plus éduqué au monde" a d'ailleurs confirmé un conseiller. Reste que le fougueux labrador est très attaché à ses nouveaux maîtres : "Dès que le Président est en dépla­ce­ment, Nemo est débous­solé !" a même confié un conseiller d'Emma­nuel Macron.

Entre Emma­nuel Macron et son chien, c’est l’amour fou.
Nemo est telle­ment choyé et pourri-gâté par son maître qu’il est désta­bi­lisé dès que ce dernier s’ab­sente. Heureu­se­ment, les colla­bo­ra­teurs du chef de l’Etat ont trouvé de quoi le calmer.

Fin août, Emma­nuel et Brigitte Macron ont adopté à la SPA un croisé grif­fon-labra­dor noir baptisé Nemo. Le couple a donc suivi la tradi­tion qui veut que chaque Président accueille un animal à l’Ely­sée comme l’ont fait les précé­dents chefs d’Etat. On se souvient de Sumo, le petit bichon maltais de Jacques Chirac ou encore de Philae, la femelle labra­dor de François Hollande.

Depuis que cette boule de poils est arri­vée à l’Ely­sée, Emma­nuel Macron n’est plus le même révèle lJour­nal du Dimanche. « J'ai été extrê­me­ment surpris de l'atta­che­ment du Président pour la bête  », confie un ministre habi­tué de l'Elysée. « Il est comme un gosse !  », a raconté l’un de ses conseillers, qui a confié que Nemo était « débous­solé » dès que son maître n’était pas à ses côtés.

Il faut dire qu’Em­ma­nuel Macron est aux petits soins avec son toutou qui ne le quitte plus et  le suit partout

Alors forcé­ment, le chien a pris ses habi­tudes et il a bien fallu trou­ver une idée de génie pour pallier à l’ab­sence du Président quand celui-ci a dû faire un discours devant les préfets le 5 septembre dernier. Et la solu­tion était toute trou­vée. " Les secré­taires ont allumé la télé pour suivre le discours, il s'est couché et calmé immé­dia­te­ment" (en entendant la voix du président), a expliqué un colla­bo­ra­teur au JDD. Il va falloir penser à enre­gis­trer ses discours.

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"La vie est mieux quand je suis avec mon chien"

Et alors que devient mon amour pour Brigitte,elle passe au second plan!!

 

 

Published by Un Sage
21 décembre 2017 4 21 /12 /décembre /2017 09:37

Ernest-Antoine et Hannibal sont des malades mentaux qui résident dans un hôpital psychiatrique.
Un jour Ernest-Antoine longe la piscine. Il tombe à l'eau et coule à pic.
Ni une ni deux, Hannibal saute à l'eau et va chercher Ernest-Antoine au fond. Il le ramène à la surface.
Quand le directeur apprend l'acte héroïque de Hannibal, il décide de le laisser sortir immédiatement car il pense que si Hannibal est capable d'un tel acte il doit être mentalement stable.
Le directeur va lui-même annoncer cette bonne nouvelle à Hannibal. Il lui dit :
- J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à t'apprendre ! La bonne c'est que nous te laissons sortir de l'hôpital parce que tu as été capable d'accomplir un acte de bravoure en sauvant la vie d'une autre personne. Je crois que tu as retrouvé ton équilibre mental. La mauvaise, c'est qu' Ernest-Antoine s'est pendu dans la buanderie avec la ceinture de sa robe de chambre.
Et Hannibal de répondre au directeur :
- Il ne s'est pas pendu, c'est moi qui l'ai accroché pour qu'il sèche...

 

Published by Un Sage
19 décembre 2017 2 19 /12 /décembre /2017 10:20

J'ai 40 piges

Un anniversaire à Chambord

Emmanuel Macron, un président sans opposition

par

David Desgouilles

 

Coucou les "sans dents" :j'ai 40 piges, et les miennes sont encore "royales"

Ainsi, la communication présidentielle aurait dérapé. C’est ce qu’on pouvait lire samedi sur les réseaux sociaux alors que toutes les radios avaient annoncé qu’Emmanuel Macron fêterait son anniversaire à Chambord et qu’il avait même rencontré des chasseurs au petit matin. On a pu y voir des comparaisons avec les mésaventures de Nicolas Sarkozy consécutives à la soirée au Fouquet’s et au séjour sur le yacht de Vincent Bolloré. Ceux qui se sont prêtés à ces analyses se fourvoyaient évidemment. De dérapage, il n’y avait pas. Très vite, après un début d’agitation sur internet, on a fait savoir que le président de la République ne dormirait pas dans le château, mais dans un pavillon, et que la salle louée pour la fête d’anniversaire, payée sur les deniers personnels d’Emmanuel Macron, était moins onéreuse que si elle avait eu lieu à Paris. Bref, les spécialistes de la polémique ont pris dans les dents le boomerang qu’ils croyaient avoir lancé, alors qu’ils avaient joué les idiots utiles de la communication présidentielle. Chapeau l’artiste !

Ni Sarkozy, ni Hollande

Bien sûr, la référence à la monarchie était une volonté, et non une maladresse, dans l’esprit d’Emmanuel Macron. Et contrairement à ce que pensent Jean-Luc Mélenchon et Alexis Corbière, elle ne constitue nullement une provocation. Le chef de file de la France insoumise se souvient-il des nombreuses allusions à la France des Rois dans les discours et actes politiques de François Mitterrand, ce président qu’il a tant admiré ? C’est aussi ce qu’a remarqué Patrick Buisson, interrogé par David Pujadas en début de semaine dernière : il prêtait à Emmanuel Macron, dans cette France qui a été si longtemps monarchique, dans les institutions forgées par l’homme du 18-juin de vouloir incarner la fonction, d’avoir à l’esprit qu’il ne succédait pas seulement aux présidents de la République, mais aussi à tous les monarques qui l’ont précédé.

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Et cette obligation est d’autant plus pressante dans un contexte mondialisé où les Français ont compris que les marges de manœuvre étaient davantage réduites pour celui qu’ils élisaient. C’est ce que n’avaient compris ni Nicolas Sarkozy ni, davantage encore, François Hollande, lesquels, chacun dans leur style, hyperprésident vibrionnant et touche-à-tout pour l’un, président (trop) normal pour l’autre, avaient tant donné l’impression qu’ils n’incarnaient aucunement la fonction. Dès l’été 2016, dans un entretien accordé au magazine Le 1 hebdo, Emmanuel Macron l’avait théorisé ; il récidivait un an plus tard, interrogé par le magazine Challenges. Pendant toute sa campagne, la promesse du retour à un style « gaullo-mitterrandien » avait été martelée et il n’est pas interdit de penser qu’elle a pu être décisive en avril dernier lors du premier tour.

Macron apprend vite de ses erreurs

Comme nous l’avions expliqué à deux reprises dans ces colonnes, il semblait bien qu’après un mois réussi dans cette manière d’incarner la fonction, Emmanuel Macron avait oublié sa promesse, se rapprochant de plus en plus du style de Nicolas Sarkozy. La façon dont il avait morigéné publiquement le général De Villiers en avait été le meilleur exemple. L’espace réduit qu’il laissait à son Premier ministre y participait également. A cela s’est ajouté l’erreur originelle des députés de son parti qui ont accepté de se faire rouler dans la farine par Thierry Solère dans la consternante affaire de la questure, provoquant la colère du groupe LR, qui a boycotté le bureau de l’Assemblée pendant quelques mois. Ce qui a eu pour conséquence de promouvoir des députés complètement inexpérimentés aux vice-présidences, laissant cette impression d’amateurisme justifiée l’été dernier.

Mais, ce qui est notable chez Emmanuel Macron, c’est qu’il apprend vite de ses erreurs, contrairement à ses prédécesseurs. Il y a quelques jours, les Républicains acceptaient de revenir au bureau de l’Assemblée, retrouvant les vice-présidences qui leur étaient promises. D’autre part, Thierry Solère ayant décidé d’entrer à LREM, pression lui a été mise pour qu’il renonce à la questure et qu’elle soit rendue à la véritable opposition. Et voilà qu’une affaire sortait mercredi dernier à propos du député de Boulogne-Billancourt et que Jupiter, par Christophe Castaner interposé, lançait sa foudre en sa direction, lui signifiant la plus rapide exclusion de l’histoire.

L’Etat est tenu

Si Emmanuel Macron se porte désormais beaucoup mieux dans les sondages, c’est parce qu’il a appris de ses erreurs. Il a laissé Edouard Philippe prendre davantage de place. Lorsqu’un mot dévastateur – car révélateur de ses pensées profondes – lui échappe dans le Limousin, évoquant ceux qui « foutent le bordel » au lieu d’aller chercher du travail « pas loin », c’est-à-dire à deux heures de route, il rectifie le tir immédiatement dans une émission, anticipant les critiques justifiées sur son rapport à la France périphérique et la « haine de la province » que Laurent Wauquiez lui reproche. Et il demande à son Premier ministre de mettre en scène une délocalisation de Matignon à Cahors, afin de batailler sur ce terrain avec le nouveau président de LR. Alors que ce dernier a décidé de l’attaquer aussi sur l’immigration, il envoie aussi des messages directs, qu’on n’aurait sans doute pas pardonnés à Nicolas Sarkozy, en répondant à une femme déboutée du droit d’asile : « il faut retourner chez vous, madame ». Et enfin, sur la question essentielle de l’éducation, il dispose de son atout maître, Jean-Michel Blanquer, qui plaît à peu près autant à droite qu’à gauche, lequel envoie des messages de fermeté et de retour au bon sens que 80% de l’opinion approuve avec soulagement, presque étonnée par tant d’audace. Même Marlène Schiappa, qui enchaînait les bourdes à vitesse supersonique l’été dernier, semble avoir trouvé son rythme de croisière à l’étonnement de ceux qui la moquaient. Bref, Emmanuel Macron, en cette fin d’année a fini par donner cette impression, inconnue depuis bien des années, surtout sous la présidence de François Hollande, que « l’Etat est tenu ».

Elle est là, l’erreur de Jean-Luc Mélenchon. Arcbouté sur sa chimère de VIe République, il ne voit pas que c’est justement ce sentiment qu’il était lui-même un chef et que l’Etat serait tenu s’il devenait président qui lui avait permis d’obtenir 19%. Dès lors, critiquer Emmanuel Macron sur ce thème, ne peut que nourrir l’impression, d’une part qu’il n’aurait pas été aussi bon président que ne l’auraient imaginé ses sept millions d’électeurs – leur laissant croire que l’Etat ressemblerait à cette France insoumise tirant à hue et à dia, entre Danièle Obono et Clémentine Autain d’un côté, et Alexis Corbière de l’autre – et d’autre part qu’il reproche à Macron de gouverner, lui donnant quitus que le président incarne effectivement la souveraineté, alors qu’il ne fait, avec son style de présidence, que donner le change. Mélenchon fait de Macron celui qui décide de prolonger le glyphosate alors qu’il le subit. Mélenchon passe sous silence le fait que Macron n’est pas aussi monarque qu’il le dit, lorsqu’il renonce à prononcer un moratoire sur l’extension des surfaces commerciales, otage des desiderata de l’inspection des finances et de la grande distribution.

La France qui va bien l’aime (toujours) bien

Laurent Wauquiez a annoncé qu’il serait meilleur opposant que Mélenchon. On attend de savoir s’il saura percer l’armure du président qui se veut monarque. Mais après avoir suivi sa campagne, et l’avoir entendu répéter à l’envi que « la droite était de retour », il est à craindre qu’il ne soit pas davantage à la hauteur que le chef de file de la France insoumise.

Hier soir, France 2 diffusait un entretien, enregistré en milieu de semaine, entre Laurent Delahousse et Emmanuel Macron.

Sa volonté d’incarner la fonction présidentielle, y ajoutant pédagogie de l’action, dédain du commentaire politicien et proximité avec un journaliste populaire, constituait le fil rouge du reportage. L’anti-Sarkhollande. La France qui va bien a dû adorer. Mais cela suffira-t-il longtemps à  la France qui souffre ?

 

Published by Un Sage
19 décembre 2017 2 19 /12 /décembre /2017 10:12

C'est une dame qui habite seule dans une vieille cabane avec son chat. Un jour, alors qu'elle fait du jardinage, elle voit une grenouille prise dans un piège à souris. Elle qui d'habitude déteste les animaux (a part son chat) la prend, la soigne et lui donne quelque chose à boire et à manger. C'est alors que la grenouille se transforme en fée et lui offre de réaliser trois de ses souhaits. La dame réfléchit et dit :- J'aimerais que ma cabane soit un château.- Comme deuxième voeu, j'aimerais retrouver la jeunesse et la fraîcheur de mes vingt ans.- Et pour finir, j'aimerais que mon chat se transforme en Prince charmant... Sitôt dit, sitôt fait. C'est alors que le chat transforme en Prince prend la parole et lui dit:- C'est maintenant que tu vas regretter de m'avoir fait castrer

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17 décembre 2017 7 17 /12 /décembre /2017 11:17

 

Tout va bien, nos enfants ne savent plus lire

par

Jacques Billard

 

L’étude internationale du Programme international de recherche en lecture scolaire (PIRLS) vient d’être publiée. Sans surprise, nous sommes parmi les plus mauvais. Nos élèves ne savent pas lire. Plus exactement, ils ne comprennent pas ce qu’ils lisent et c’est le ministère qui le reconnaît :

« Depuis PIRLS 2001, la performance globale française baisse progressivement à chaque évaluation. En 2016, l’écart est significatif et représente – 14 points sur la période de quinze ans.

Les performances basées sur la compréhension de textes informatifs baissent davantage (- 22 points) que celles des textes narratifs (- 6 points).

Les processus de compréhension les plus complexes (Interpréter et Apprécier) baissent davantage (- 21 points) que les plus simples (Prélever et Inférer, – 8 points).

"Les enseignants français sont moins nombreux que leurs collègues européens à déclarer proposer à leurs élèves chaque semaine des activités susceptibles de développer leurs stratégies et leurs compétences en compréhension de l’écrit. "

On retient que les élèves parviennent à suivre une histoire qu’on leur raconte (narratif), mais n’en relèvent pas les détails (informations) et qu’ils prennent tout au premier degré (ils n’interprètent pas).

Mais on retient aussi que le vocabulaire du ministère reste un vocabulaire pédagogiste : « performance », « prélever », « inférer », « développement de stratégies », développement des « compétences en compréhension »…

On ne joue pas d’un instrument sans connaître son solfège

Ce vocabulaire, à lui seul, explique déjà le problème de l’enseignement de la lecture, car il fait de l’acte de lire une activité extérieure au texte lu. Il fait du texte non un milieu dans lequel on plonge, mais un objet qu’on saisit à l’aide d’instruments. Or, ce qui permet de comprendre un texte, c’est justement d’y entrer et nullement de le prendre comme un objet extérieur auquel on applique des techniques d’inquisition. Le rapport au texte doit être fusionnel, intime. Le tenir sous le scalpel en vue d’une extraction de sens, c’est le perdre ! C’est confondre Victor Hugo avec le Chaix.

La lecture, c’est donc d’abord un rapport à la lecture. Or, toute notre pédagogie, depuis au moins une quarantaine d’années, repose sur des postulats qui ne facilitent guère l’apprentissage de la lecture, voire l’interdisent.

D’abord il y a ambiguïté sur la notion de lecture, mot par lequel on désigne à la fois l’apprentissage, le déchiffrage, le b-a-ba et la lecture courante, l’immersion dans un texte. Le mot désigne à la fois le déchiffrage et la compréhension. Les méthodes classiques d’enseignement distinguaient bien les deux, mais les méthodes pédagogistes se sont employées à dévaloriser la première au prétexte de la seconde. Devant cette lapalissade –lire c’est comprendre ce qu’on lit – on en oublie que pour y parvenir, il y a des étapes à franchir. C’est comme si on exigeait de ceux qui apprennent à jouer d’un instrument de musique à interpréter avant même de savoir produire les notes. Apprendre à lire, c’est avant tout construire des automatismes, lesquels, une fois acquis, permettront de lire. Tant que ces automatismes ne sont pas acquis, rien n’est possible. Bien entendu, on peut travailler les deux finalités en même temps, déchiffrage et acquisition du sens, ce que faisaient les maîtres d’autrefois, aujourd’hui disparus, en faisant déchiffrer jusqu’à la mise en place des automatismes. Mais dans le même temps, le maître lisait le livre de manière à ce que le contenu du texte motive ce premier geste de déchiffrage.

Le « degré Apple » de la lecture

Il est vrai que la vie sociale moderne rend l’écrit beaucoup moins nécessaire, surtout dans sa forme élevée. Le langage est le plus souvent réduit à sa seule fonction de signe et l’image visuelle, immédiate et univoque, l’a définitivement emporté sur la métaphore, polysémique, et sur le sens de l’herméneutique.

Sur le plan scolaire, il suffit de comparer ce qu’on donne à lire aux élèves d’aujourd’hui avec ce qu’on leur offrait, il y a une cinquantaine d’années.

Il suffit de regarder les textes d’aujourd’hui pour mesurer la perte de niveau : tendances aux phrases courtes, restriction à un vocabulaire simple, préférence pour présent de l’indicatif, description allégée au profit de l’action, etc. C’est le « degré Apple » de l’écriture, comme le dit si bien Claude Duneton.

C’est en lisant qu’on devient un bon enseignant de la lecture

Heureusement tous les maîtres n’en sont pas là, mais la tendance, elle, y est. Et si l’école ne parvient pas à corriger les effets induits par le monde moderne, c’est aussi parce que la formation des maîtres est quasi inexistante. C’est d’ailleurs bien simple : depuis qu’il a été décidé d’élever le niveau de recrutement des professeurs des écoles à bac+2 puis bac+3 puis bac+4, les maîtres n’ont plus de formation. Un bac + n, n pouvant tendre vers l’infini, ne fera jamais un instituteur d’autrefois seulement pourvu des vrais baccalauréats de Première et de Terminale

Les écoles normales primaires se sont dégradées en IUFM, lesquelles ont été fermées à cause de leur nocivité et remplacées par des ESPE qui ne sont pas plus utiles, sinon pour relayer auprès des maîtres les lubies pédagogiques et politico-idéologiques des ministères cédant aux groupes de pression. Et on n’est toujours pas sorti du principe d’ignorance qui pilote la formation : le maître doit savoir enseigner, sans nécessairement être lui-même très savant.

Sur les questions de lecture, il est triste de devoir remarquer que les maîtres eux-mêmes ne lisent pas, ou très peu. Comment pourraient-ils donc obtenir des élèves ce qu’ils ne pratiquent pas eux-mêmes ?

Sacraliser le livre à l’école

Enfin, sur les questions de compréhension des textes, le problème n’est pas dans les techniques d’interrogation des textes (la « prise d’indices »), mais dans le milieu culturel où l’élève est plongé.

Si, à la maison, le livre n’existe pas et si à l’école le livre n’est pas d’une certaine manière sacralisé, rien ne sera possible. Et si l’école ne constitue pas, pour les élèves qui en ont besoin, un vrai milieu de culture, les textes autres que narratifs ne seront jamais compris.

Nous verrons bien ce que le ministère va proposer pour remonter la pente. Mais si le pédagogisme continue de conserver les postes stratégiques, on ne proposera, à coup sûr, que le renforcement des méthodes responsables du mal à soigner.

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16 décembre 2017 6 16 /12 /décembre /2017 18:10

Johnny Hallyday : un célèbre couple refoulé à l’entrée de la Madeleine

Un célèbre couple du l’univers du cinéma s’est présenté samedi à la Madeleine à Paris pour assister à l’hommage populaire rendu à Johnny Hallyday, mais s’en est vu refuser l’accès. 

Pourquoi ils n’étaient pas les bienvenus? 

Des dizaines de personnalités étaient présentes samedi dans l’église de la Madeleine à Paris pour assister à l’hommage populaire qui était rendu à Johnny Hallyday. Roman Polanski, sa compagne Emmanuelle Seigner et leur fille auraient aimé en faire partie mais l’accès leur a été refusé, rapporte Vanity Fair. Selon les informations du magazine, le trio s’est présenté à la grille mais n’a pas pu entrer, bloqué par les vigiles. Une vidéo montre même le réalisateur, la comédienne et leur enfant rebrousser chemin après avoir tenté de négocier son entrée avec les hommes chargés de filtrer les entrées. "Ils se sont finalement éloignés, visiblement embarrassés", rapporte même Gala.

La faute à leur tenue vestimentaire ?

Roman Polanski et Emmanuelle Seigner se sont vus refuser l'entrée à l'hommage rendu à Johnny Hallyday

La raison exacte de ce refus n’a pas encore été clairement dévoilée mais plusieurs pistes sont évoquées dans les médias. Celle qui revient le plus souvent consiste à penser que la famille est arrivée en retard et que les vigiles n’ont pas voulu la laisser rentrer de peur de perturber la cérémonie qui se déroulait dans l’église. Une autre piste s’appuie quant à elle sur la tenue vestimentaire du couple et sa fille. Sur la vidéo de Vanity Fair, ils apparaissent en effet en tenue décontractée. Roman Polanski porte un blouson noir surmonté d’une écharpe bleu marine et un jean ,tandis que sa compagne porte un manteau de laine noir et blanc duquel dépasse la capuche d’un sweat gris qui recouvre sa tête. Leur fille avait quant à elle opté pour une veste en (fausse ?) fourrure bleu-gris et une écharpe noire.

Une belle brochette d'élégante !!

Enfin, les nouvelles accusations de viol portées à l’encontre du réalisateur pourraient avoir amené la famille de

Rectificatif

Hommage à Johnny : les vraies raisons de l'éviction de Polanski ?

Pourquoi Roman Polanski et sa femme Emmanuelle Seigner ont-ils été refoulés de la Madeleine pour l'hommage rendu à Johnny Hallyday le 9 décembre dernier ? Si une vidéo montre bien que l'entrée leur a été refusée, selon Emmanuelle Seigner, il est faux d'expliquer qu'ils étaient persona non grata. "Invités par Laeticia Hallyday, nous sommes restés bloqués pendant 1 h et demie dans les embouteillages et hélas nous sommes arrivés en retard , nous n'avons pas pu rentrer dans l'église pour des raisons de sécurité spécifique liées a la présence du président de la République. Honte à vous de raconter n'importe quoi comme toujours!", écrit Emmanuelle Seigner sur son compte Instagram. Selon elle, leur éviction ne serait donc pas liée aux accusations d'agressions sexuelles qui visent son mari.

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Published by Un Sage
16 décembre 2017 6 16 /12 /décembre /2017 18:00

La prime de Noël sera versée la semaine du 18 décembre

Son montant est inchangé par rapport aux deux années précédentes. Elle est de 152,45 euros pour une personne seule, et 228,67 pour deux personnes.

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C'est l'un de ces moments gênants dont Jean-Jacques Bourdin a le secret.

Après Myriam El Khomri qui ne savait pas combien de fois il était possible de reconduire un CDD, après Édouard Philippe qui demande un délai pour consulter ses services, voici l'épisode de la prime de Noël avec Hervé Bréville. Ce député macroniste, porte-parole du groupe La République en marche, s'est fait coincer ce lundi par l'animateur sur la prime de Noël, dont il n'avait manifestement jamais entendu parler...

Hervé Bréville

Interrogé sur la reconduction de cette aide versée par l'État aux foyers modestes, Hervé Berville a dans un premier temps affirmé ne pas avoir de prime de Noël en tant que député. « Vous ne connaissez pas la prime de Noël. C'est un peu dommage », répond Jean-Jacques Bourdin avant de livrer une définition à son invité.

« Je n'ai pas d'information sur ce sujet », a alors expliqué l'élu avant de conclure : « Je n'ai pas d'information contradictoire donc je pense qu'elle va être reconduite. »

La prime de Noël,'(votée par l'Assemblée Nationale) est pourtant un marronnier de la politique, généralement reconduite chaque année depuis... 1998. La reconduction de cette aide, qui est systématiquement annoncée au cours du dernier trimestre de l'année, est versée au mois de décembre.

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Source AFP

La prime de Noël, d'un montant identique à celui des deux dernières années, « sera versée la semaine précédant Noël » à « plus de 2,5 millions de Français », a annoncé lundi la ministre de la Santé et des Solidarités, Agnès Buzyn. Cette prime sera attribuée à « certains bénéficiaires du revenu de solidarité active [RSA], ainsi [qu'aux] bénéficiaires de l'allocation de solidarité spécifique [ASS] et de l'allocation équivalent retraite », indique la ministre dans un communiqué.

Comme en 2015 et en 2016, son montant sera de 152,45 euros pour une personne seule, 228,67 euros pour un foyer de deux personnes (couple sans enfant, adulte isolé avec un enfant) et 274,41 euros pour trois personnes (couple avec un enfant, adulte isolé avec deux enfants). À partir de quatre personnes, le montant de la prime est plus élevé pour un foyer monoparental (335,39 euros) que pour un couple (320,14 euros) et la prime est complétée La prime de Noël, d'un montant identique à celui des deux dernières années, « sera versée la semaine précédant Noël » à « plus de 2,5 millions de Français », a annoncé lundi la ministre de la Santé et des Solidarités, Agnès Buzyn. Cette prime sera attribuée à « certains bénéficiaires du revenu de solidarité active [RSA], ainsi [qu'aux] bénéficiaires de l'allocation de solidarité spécifique [ASS] et de l'allocation équivalent retraite », indique la ministre dans un communiqué.

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Hervé Berville

.Wikipedia

Hervé Berville, né le 15 janvier 1990 à Madanzh-Buhimga (Rwanda), est un spécialiste en économie du développement2 et homme politique français. Il est élu député de La République En Marche ! de la deuxième circonscription des Côtes-d'Armor lors des élections législatives françaises de 2017.

Biographie

Famille, enfance

Orphelin tutsi, évacué de son pays au début du génocide rwandais, Hervé Berville est né en 1990. Il est adopté par un couple de Bretons de Pluduno, dans les Côtes-d'Armor, en 1994.

Études

Passé par le lycée Les Cordeliers (Dinan) et par une classe préparatoire aux grandes écoles littéraire au lycée Ernest-Renan (Saint-Brieuc), Il poursuit ses études à l'Institut d'études politiques de Lille puis à la London School of Economics où il obtient un master en économie politique du développement.

Carrière

Spécialisé sur les questions macroéconomiques du développement, il rentre en 2013 en tant qu’économiste à l’Agence française de développement (AFD) au Mozambique. En 2016, il occupe un poste de chargé de programme au Kenya pour une executive summer school du Stanford Institute for Innovation in Developing Countries de l'université Stanford : le Seed Transformation Program6. Depuis septembre 2017, Hervé Berville est membre du conseil d'administration de l'AFD.

Carrière politique

Engagé dès l’automne 2015 au sein des Jeunes avec Macron, il devient référent pour les Côtes-d’Armor à l’occasion de son retour définitif en Bretagne en décembre 2016. Il est alors également chargé pendant la campagne présidentielle de porter dans sa région le programme économique.

Désigné candidat La République en marche ! (LREM) dans la 2e circonscription des Côtes-d’Armor pour les élections législatives 2017, les électeurs le placent en tête au premier tour de l’élection avec 38,85 % des voix. Il est élu député au second tour avec 64,17 % des voix (soit 27,7 % des électeurs inscrits). Le 27 juin 2017, il est nommé porte-parole du groupe parlementaire LaREM. Il est membre de la commission des Affaires étrangères à l'Assemblée nationale.

 

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