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9 décembre 2017 6 09 /12 /décembre /2017 10:05

Jésus est au collège et il reçoit son bulletin du 2ème trimestre.Sa mère, Marie, le vérifie :Math : 2 . Multiplie les pains à volonté et ne sait pas faire une division . PitoyableChimie : 3 . Transforme l'eau (H2O) en vin ! Alcoolisme en cours : BlâmeSport : 0 . Ne sait toujours pas nager (s'amuse à faire rire ses camarades en marchant sur l'eau !)Marie s'écrie alors :- Jésus, avec un bulletin comme ça tu peux faire une croix sur tes vacances de Pâques

Après une catastrophe, une centaine de couples se retrouvent au ciel devant St-Pierre. Il leur dit:- S'il vous plaît, veuillez faire trois lignes. Une ligne pour les femmes, une ligne pour les hommes qui se sont toujours fait mener par le bout du nez par leur femme, et une ligne pour les hommes qui ont su imposer leur volonté à leur femme.Sur ce, 3 lignes se forment. Un seul monsieur se retrouve dans la ligne des hommes qui ont su imposer leur volonté à leur femme. St-Pierre s'approche de ce monsieur et demande:- Monsieur, il y a des années que je n'ai vu personne dans cette ligne, êtes-vous sûr que vous êtes dans la bonne ligne?- Je sais pas, c'est ma femme qui m'a dit de me mettre ici !

 

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9 décembre 2017 6 09 /12 /décembre /2017 10:00

 

Drôles, piquantes… les phrases cultes de Jacques Chirac

Considéré comme le président le plus sympathique de la Ve République, Jacques Chirac est sans doute aussi celui qui a le meilleur sens de la répartie. Florilège de ses meilleures sorties.

En 1995, Jacques Chirac était élu président de la République. Pendant les douze ans qu’il a passés à l’Elysée et même après son deuxième mandat, l’ex-chef d’Etat s’est souvent illustré par ses propos. Dans Chirac, entre perles et culture, Guy Baret en a compilé plus de 300. En voici quelques-unes.

"Je sais que j’ai la gueule de droite mais on ne peut pas se refaire" (1978)

Admirateur de Johnny Hallyday, aurait-il été inspiré par le tube "Qu’est-ce qu’elle à ma gueule ?"

"On ne fait pas avancer un âne qui chie" (1988)

Ce proverbe inventé par Jacques Chirac a été utilisé pour parler de Raymond Barre, son successeur à Matignon et son adversaire à la présidentielle de 1988.

"Bien sûr que je suis de gauche ! Je mange de la choucroute, je bois de la bière" (1995)

On s’interroge sur ces marqueurs de gauche qui seraient la choucroute et la bière, la droite évoque plus volontiers la "gauche caviar".

"J’aime les pommes, je suis un mangeur de pommes et puis j’ai trouvé que c’était joli… J’aime bien le cidre aussi" (1995)

Réponse au journaliste qui le reçoit sur France 2 et l’interroge sur la couverture de son livre La France pour tous, qui a pour illustration un pommier. C’est ainsi que cet arbre est devenu le symbole de la campagne de Jacques Chirac, avec l’aide des Guignols qui ne cessaient de lui faire dire : "Mangez des pommes !". Cela joua dans sa victoire sur Balladur et son élection. Non pas tant la pomme que le visage finalement sympathique que donnaient de lui les "Guignols" de Canal+.

"Ce ne sont pas des bovins, ce sont des chefs d’œuvre" (2005)

Il s’extasiait, au Salon de l’agriculture, devant de magnifiques taureaux….

"De toute façon, les merdes volent en escadrille"

C’est sa façon un peu rude et triviale de dire qu’un malheur n’arrive jamais seul…

"C’est Jacques Chirac qui vous parle" (1994)

Le présentateur du journal de France 2 l’interroge en prologue : "Qui nous parle ? Le maire de Paris, le président du RPR ou le prochain présidentiable ?". Ce à quoi Jacques Chirac répond : "C’est Jacques Chirac qui vous parle. Je sais que vous êtes journaliste mais je croyais quand même que cette informations était parvenue jusqu’à vous".

"La langue de bois est une de mes spécialités" (1987)

Un aveu qui montre que Chirac ne maniait pas toujours la langue de bois !

"Il n’y a pas de différend entre le ministre des Finances et moi pour une raison simple : je décide et il exécute" (2004)

C’est ainsi qu’il exécuta d’une formule cinglante Nicolas Sarkozy, son ministre des Finances, sous lequel pointait déjà le candidat à sa succession.

Published by Un Sage
8 décembre 2017 5 08 /12 /décembre /2017 09:59

Après une catastrophe, une centaine de couples se retrouvent au ciel devant St-Pierre. Il leur dit:- S'il vous plaît, veuillez faire trois lignes. Une ligne pour les femmes, une ligne pour les hommes qui se sont toujours fait mener par le bout du nez par leur femme, et une ligne pour les hommes qui ont su imposer leur volonté à leur femme.Sur ce, 3 lignes se forment. Un seul monsieur se retrouve dans la ligne des hommes qui ont su imposer leur volonté à leur femme. St-Pierre s'approche de ce monsieur et demande:- Monsieur, il y a des années que je n'ai vu personne dans cette ligne, êtes-vous sûr que vous êtes dans la bonne ligne?- Je sais pas, c'est ma femme qui m'a dit de me mettre ici !

Published by Un Sage
7 décembre 2017 4 07 /12 /décembre /2017 18:40

L’écrivain et académicien Jean d’Ormesson est mort

Jean d’Ormesson est mort d’une crise cardiaque dans la nuit de lundi à mardi, à l’âge de 92 ans, a annoncé sa famille à l’Agence France Presse.

Tout en étant obligé de s’inscrire dans la lignée des comtes d’Ormesson, il s’était fait son propre nom, en forme de sourire, qui reflétait bien son caractère facétieux : Jean d’O. Plus il vieillissait, plus Jean d’Ormesson – qui est mort dans la nuit du 4 au 5 décembre à l’âge de 92 ans ,était charmant et charmeur, avec son œil si bleu et son air à jamais espiègle. « Il a toujours dit qu’il partirait sans avoir tout dit et c’est aujourd’hui. Il nous laisse de merveilleux livres », a déclaré sa fille, Héloïse d’Ormesson. Il pensait avec raison que la gaieté est une politesse et voulait mériter un qualificatif presque perdu, « dans un siècle où règne le ressentiment » : délicieux.

Délicieux, il l’était. Bon écrivain, aussi. Mais, admirateur des grands auteurs, il se montrait sans illusion sur son œuvre ,sans doute en attendant un démenti. Il a poussé ce jeu sur la littérature jusqu’à écrire un roman intitulé Presque rien sur presque tout (Gallimard, 1996). Lorsqu’on lui demandait si ce « presque rien sur presque tout » n’était pas l’inverse de ce que doit être la littérature, « presque tout sur presque rien », il partait d’un grand rire, en laissant au lecteur le soin de conclure.

Il pratiquait à merveille un art en voie de disparition, celui de la conversation. Il était brillant, jamais ennuyeux, parlait vite et bien. On avait envie de l’inviter sur tous les plateaux de télévision. On ne s’en privait pas, et il y avait pris goût.

 « Longtemps, je me suis demandé ce que j’allais faire de ma vie », affirmait-il au début de C’était bien, en 2000 (Gallimard) : un retour sur son passé et sur les contradictions de sa vie. Car, bien qu’appartenant à une « grande famille », tout n’avait pas été toujours facile pour lui.
Jean d’Ormesson est né le 16 juin 1925. Son père, André d’Ormesson, est diplomate, bientôt (en 1936) ambassadeur de France. Sa mère, née Marie Anisson du Perron, descend des Le Peletier. Comme il l’évoque dans Au plaisir de Dieu (Gallimard, 1974), il a passé une partie de son enfance au château de Saint-Fargeau, qui appartenait à sa mère. La famille suivant son père dans ses différents postes, il a aussi vécu en Roumanie et au Brésil.

Pour échapper à Sciences Po Jean d’Ormesson entre en hypokhâgne, puis intègre l’Ecole normale supérieure de la rue d’Ulm, juste après la seconde guerre mondiale. Il passe l’agrégation de philosophie et se résout à enseigner. On lui propose un poste à l’université américaine de Bryn Mawr, près de Philadelphie, université de jeunes filles, ce qui l’amuse plutôt. Mais il tombe gravement malade.

Il entre en 1950 à l’Unesco, où il devient l’assistant de Jacques Rueff au Conseil international de la philosophie et des sciences humaines nouvellement créé – qu’il dirigera plus tard. Il fait aussi, avec Roger Caillois, la revue de sciences humaines Diogène, dont le premier numéro est sorti en 1953. Il déclarait détester les réunions et les comités de rédaction, ce qui ne l’empêchera pas de diriger Le Figaro entre 1974 et 1977.

 « Au revoir et merci »

Il devient donc directeur du journal et, à ses chroniques, s’ajoutent des éditoriaux politiques qui ne manquent pas de susciter des polémiques à gauche. Lorsque Robert Hersant – qui avait été frappé d’indignité nationale pendant dix ans pour faits de collaboration – rachète Le Figaro, en 1975, Jean d’Ormesson, comme Raymond Aron, reste. Mais tous deux partiront deux ans plus tard.

Jean d’Ormesson va enfin pouvoir consacrer plus de temps à son œuvre littéraire, commencée en 1956 et ayant connu des fortunes diverses. René Julliard avait aimé (et publié) son premier texte, L’amour est un plaisir. Mais, après plusieurs échecs, ayant peu de goût pour le masochisme, Jean d’Ormesson faisait ses adieux à la littérature en publiant Au revoir et merci, en 1966 (réédité chez Gallimard en 1976).

Un an plus tard survient un événement pour lui dramatique : il doit se résoudre à vendre le château maternel de Saint-Fargeau. Et, au début des années 1970, tout change dans son existence : il écrit La Gloire de l’Empire, un pastiche de récits d’historiens. Roger Caillois s’enthousiasme et porte le manuscrit chez Gallimard, où il est publié (1971). Pour ce livre, Jean d’Ormesson reçoit le Grand Prix du roman de l’Académie française. En 1973, à 48 ans, il entre sous la Coupole au fauteuil de Jules Romains – il est alors le benjamin de l’Académie.

On le retrouve en 1974 avec un texte plus grave, Au plaisir de Dieu, qui raconte la fin d’un monde, celui de sa famille. Le succès, ensuite, ne le quittera plus. Dix livres en quinze ans – toujours sur les listes des meilleures ventes –, jusqu’à cette Histoire du Juif errant, en 1990, suivi de La Douane de mer en 1994 puis de Presque rien sur presque tout, en 1996, trois romans (Gallimard) dans lesquels Jean d’Ormesson tente une explication du monde.

On sait, par ses articles du Figaro – il a continué à y collaborer après avoir abandonné la direction –, que Jean d’Ormesson n’a jamais dédaigné les combats et les polémiques. Ses attaques contre ceux qu’on désignait à droite comme les « socialo-communistes » lui ont même valu, pendant la guerre du Vietnam, d’être la cible d’une chanson de Jean Ferrat, Un air de liberté (1975). On en oublie parfois qu’il a magnifiquement écrit sur les écrivains. Parmi ses milliers d’articles, il en a choisi certains pour les réunir en volumes.

Un recueil dédié à sa fille Héloïse

En 2007, à 82 ans, il a fait cadeau d’un nouveau recueil à sa fille Héloïse, qui avait créé sa propre maison d’édition. Dans cette Odeur du temps (éd. Héloïse d’Ormesson), on mesure tout son amour de la vie, on comprend mieux ses passions, ses enthousiasmes. C’est finalement une sorte d’autobiographie détournée, avec ce qu’il faut de souvenirs de famille, de voyages.

Dans ces articles, on aime le style énergique, le sens des formules, des croquis, des portraits aigus, rapides. Et on découvre que Jean d’Ormesson possède une autre qualité trop rare : il sait admirer. Ainsi, François Mauriac occupe une large place, peut-être parce qu’en lui « s’incarnaient tous les talents d’un esprit à la fois classique et moderne et le génie de la langue porté à sa perfection. C’est cette rencontre si rare qui donne à François Mauriac, écrivain et journaliste, toutes ses chances d’éternité ». Paul Morand, au contraire, détestait le journalisme. Surprenant, quand on a écrit des livres sur des villes, « tant de reportages de génie où le monde moderne brillait de tous les feux nouveaux de l’automobile de sport, du cinéma et du jazz ».

Comprendre, aimer : deux mots qui sont le moteur de Jean d’Ormesson dans ces articles. Il célèbre Aragon. Totalement préservé de la jalousie et du ressentiment qui font détester ses contemporains, il sait aussi rendre hommage à ses cadets. Patrick Besson, qui a « plus de talent que les autres, et peut-être plus que personne ». Gabriel Matzneff, « un sauteur latiniste, un séducteur intellectuel, un diététicien métaphysique ». Et qui est donc ce « classique rebelle et farceur, doué comme pas un » ? Jean d’Ormesson lui-même ? Non, Philippe Sollers, qui, comme lui, se rallie à ce mot de Stendhal : « L’essentiel est de fuir les sots et de nous maintenir en joie. »

« Je dirai malgré tout que cette vie fut belle »

Il a su aussi aider Marguerite Yourcenar à forcer la porte de l’Académie française, avec « cette œuvre éclatante écrite dans ce style suprême qui rejette dans la préhistoire les fadaises et les mièvreries de la prétendue écriture féminine ». Cela n’a pas été une mince affaire. On est en 1979, et Jean d’Ormesson, qui était alors, à 54 ans, un « jeune » à l’Académie, a l’idée, à l’époque loufoque, de faire entrer une femme sous la Coupole. Alors, les académiciens perdent leurs nerfs. Les plaisanteries graveleuses abondent. Yourcenar est-elle vraiment une femme ? ,allusion à sa vie sexuelle. Peut-être peut-on l’élire car elle écrit comme un homme. Contre toute attente, Marguerite Yourcenar est élue le 6 mars 1980 au fauteuil de Roger Caillois. En janvier 1981, c’est Jean d’Ormesson qui la reçoit.

Dans les dernières années de sa vie, Jean d’Ormesson a connu une consécration qui lui a certainement fait plus de plaisir que son élection à l’Académie française. En 2015, la prestigieuse « Bibliothèque de la Pléiade » de Gallimard a publié un volume de ses romans. Il en a fait le choix lui-même. Mais il n’a pas pour autant renoncé à écrire. En janvier 2016, paraissait chez Gallimard un excellent Jean d’Ormesson, sans doute l’un de ses meilleurs, Je dirai malgré tout que cette vie fut belle : une traversée, non pas du siècle mais des siècles, de Racine à Paul Morand, de Saint-Simon à François Mitterrand et bien d’autres. Livre testamentaire ? Jean d’Ormesson le reconnaît dans les dernières pages. Toutefois, en octobre 2016, co-édité par Gallimard et Héloïse d’Ormesson, il a publié un bref Guide des égarés.

Tous ses combats, comme tous ses livres, sont dominés par une passion qui oriente un destin, celle de la lecture. Jean d’Ormesson savait qu’il y aurait toujours quelques fous pour s’abstraire un moment du jeu social et entrer dans l’univers d’un écrivain.

Alors, « tant qu’il y aura des livres, des gens pour en écrire et des gens pour en lire, tout ne sera pas perdu dans ce monde qu’en dépit de ses tristesses et de ses horreurs nous avons tant aimé ».

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7 décembre 2017 4 07 /12 /décembre /2017 18:38

La fée et le couple marié

Une fée dit à un couple marié :

Pour avoir été un couple si exemplaire depuis 25 ans, je vous accorde à chacun un vœu.La femme dit alors :"Je voudrais faire le tour du monde avec mon mari adoré."La fée agite sa baguette magique, et abracadabra, des billets d'avion apparaissent dans la main de la femme.

Maintenant c'est au tour du mari :"Euh... c'est un instant très romantique, mais une opportunité comme celle-là n'arrive qu'une fois dans la vie. Alors je suis désolé ma chérie, mais j'aimerais avoir une femme 30 ans plus jeune que moi."La femme est terriblement déçue, mais un vœu est un vœu.La fée fait un cercle avec sa baguette magique... Abracadabra ! Soudain le mari a 90 ans !

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6 décembre 2017 3 06 /12 /décembre /2017 11:01

Alcool

Un homme complètement saoul sort vers quatre heures du matin d'une boîte de nuit et regagne péniblement le parking avec l'aide d'un de ses amis. Il ouvre la portière de sa voiture, s'affale sur le siège et se met à hurler : 
- Ah les salauds ! Ils m'ont tout volé... Les racailles ! Plus d'auto-radio, plus d'allume-cigares, plus de tableau de bord, plus de volant ! Ils ont même pris le levier de vitesse. 
- Calme toi dit son copain, tu es assis à l'arrière...

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5 décembre 2017 2 05 /12 /décembre /2017 10:59

Emmanuel Macron en cuir sous le soleil du Touquet : combien coûte son blouson ?

Par Camille Thomas 

Lors d'un bain de foule nocturne au Touquet le 26 août dernier, Emmanuel Macron avait surpris tout le monde en sortant en jeans, baskets et blouson en cuir.

Le style "débraillé"est très mode

Décidément, le couple Macron n'en finit pas de nous surprendre avec ses tenues. Quand Brigitte ne fait pas dans la fantaisie avec une petite robe à volants ou une tenue saumon, c'est Emmanuel qui fait des siennes. Samedi et dimanche derniers, le couple présidentiel était de passage au Touquet pour un week-end en amoureux dans leur villa Monéjan

Le samedi 26 août, le Président s'est ainsi offert un bain de foule, pour la plus grande joie de ses admirateurs, qui l'attendaient pour certains depuis plusieurs heures. Mais quelle ne fut pas leur surprise lorsqu'ils ont vu le chef d'Etat sortir en jeans, basket et... veste en cuir malgré les 26 degrés ambiants et le soleil tapant !

Grâce à Marc Beaugé, spécialiste mode de Quotidien sur TMC, vous pourrez désormais, si vous le souhaitez, adopter le style rock'n'roll du président. Et c'est le compte Twitter de l'émission présentée par Yann Barthès qui révèle la marque et le prix de cette veste. Selon le journaliste, l'actuel locataire de l'Élysée portait un blouson de l'armée de l'air, en cuir d'agneau, de la marque Doursoux. Le prix de cette petite fantaisie ? 455 euros, soit l'un des modèles les moins onéreux de la marque. Un peu de folie dans le style, mais pas dans le budget !

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5 décembre 2017 2 05 /12 /décembre /2017 10:39

Au catéchisme le prêtre demande :

- Mes enfants, ou pensez-vous que Dieu se trouve ?

- Le Bon Dieu est au Paradis. Commence Kévin

- Il est dans mon coeur. Dit Dorothée.

- Il est dans notre salle de bains !!! Poursuit Toto d'un ton très assuré.

- Pourquoi penses-tu que le Bon Dieu est dans ta salle de bains, Toto? 

- Parce que tous les matins, mon père se lève, va à la porte de la salle de bains et frappe plusieurs coups dedans en criant : "BON DIEU, T'ES ENCORE LA !!!"

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4 décembre 2017 1 04 /12 /décembre /2017 11:00

C'était autrefois!!

Notre Père était récitée par respect envers lui en le vouvoyant:

**************

Notre Père qui êtes aux cieux,
que votre nom soit sanctifié,
que votre règne arrive

,que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donnez-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonnez-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.:

Et ne nous soumettez pas à la tentation
mais délivrez-nous du mal

Amen

*****************

Maintenant tout est changé

On tutoie "Notre père "comme un vieux copain" et a partir du 3 décembre on bouscule encore une ligne

(Le Pélerin)

Dès le premier dimanche de l'Avent, les fidèles catholiques ne diront plus, lorsqu'ils réciteront la prière du Notre Père, « Ne nous soumets pas à la tentation » mais « Ne nous laisse pas entrer en tentation ».

Les évêques français ont décidé, durant leur Assemblée plénière à Lourdes (du 28 au 31 mars 2017), « l’entrée en vigueur de la nouvelle traduction du Notre Père dans toute forme de liturgie publique, le premier dimanche de l’Avent 2017 ». C’est ce qu’a indiqué la Conférence des évêques de France (CEF).

Nouvelle version du "Notre Père" récitée à compter du 3 décembre 2017

Notre Père qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation, [Jusqu'au 3 décembre 2017 : "Et ne nous soumets pas à la tentation"]
mais délivre-nous du Mal.

La nouvelle traduction francophone du Notre Père,  « ne nous laisse pas entrer en tentation », au lieu de « ne nous soumets pas à la tentation » , était en fait actée depuis novembre 2013. Elle avait été décidée dans le cadre d’un chantier plus global, entamé il y a 17 ans par les conférences épiscopales francophones, qui ont travaillé sur une nouvelle traduction intégrale de la bible, pour son usage liturgique.

La version prononcée actuellement, qui évoluera donc le 3 décembre 2017, datait de 1966

Il ne restait donc plus qu’à acter la récitation orale du nouveau Notre Père, ce qui est maintenant chose faite. La version prononcée actuellement, qui évoluera donc le 3 décembre 2017, datait, elle, de 1966 et avait été adoptée de manière œcuménique par les Églises luthériennes et réformées de France ainsi que par l’Église orthodoxe.

En mai 2016, au terme de leur synode annuel, les membres de l’Église protestante unie de France (Epudf) ont de leur côté, recommandé à leurs paroisses, par souci « œcuménique », d’utiliser la nouvelle version, « ne nous laisse pas entrer en tentation.»

*************

Jean Raspail

DE LA TENUE

(Jean Raspail, né le 5 juillet 1925 à Chemillé-sur-Dême (Indre-et-Loire), est un écrivain et explorateur français.)

S'il existe en français, pour s’adresser à autrui, deux pronoms personnels de la deuxième personne, l’un au singulier, TU, l’autre où pluriel, VOUS, appelé pluriel de politesse, c’est que notre langue se plaît à certaines nuances qui sont les bases de la civilité. Il ne s’agit pas là de code, de formalisme de classe, de snobisme, de règles mondaines, mais simplement d’usages naturels, qui se perdent et qui faisaient, entre autres, le charme et l’équilibre de la France et le plaisir d’être Français.

Ce plaisir-là s’émousse. On me dira que d’autres motifs plus graves et plus irritants y concourent, d’autres lésions de civilisation, et que c’est considérer les choses par le petit bout de la lorgnette, mais dans ce seul domaine de la civilité, de petites causes peuvent entraîner de grands effets dévastateurs.

La Révolution française, jusqu’à l’avènement du Directoire, savait ce qu’elle faisait en imposant le tutoiement général et en interdisant l’emploi des vocables Monsieur et Madame qui marquaient au moins une déférence réciproque : elle égalisait au plus bas niveau, celui du plus grand dénominateur commun de la familiarité.

Aujourd’hui, ce sont d’abord nos enfants que nous voyons condamnés à être partout tutoyés, comme sous la Révolution. Je ne m’en prends point au tutoiement naturel d’affection et d’intimité (la famille, les amis), ou de solidarité (les copains, les camarades,), mais à celui que leur infligent systématiquement les adultes, comme si l’enfant n’avait pas droit au respect et à la liberté de choisir selon son coeur et ses humeurs qui a, ou qui n’a pas, le loisir de le tutoyer.

D’une façon significative, et qui ne doit rien au hasard, cela commence dès l’école, où plus un instituteur ne prend la peine de vouvoyer (ou voussoyer) un enfant. Au premier jour de classe, l’ex-maître devenu enseignant par banalisation de la fonction et refus de cette sorte de sacerdoce qu’elle représentait autrefois, ne demande plus à l’enfant dont il fait connaissance: « Comment vous appelez-vous ? », ce qui serait au moins du bon français, mais : « C’est quoi, ton nom ? »

Sans que l’enfant en ait conscience, le voilà déjà rabaissé, marqué comme un élément de troupeau. On lui eût dit « vous » d’emblée, ainsi qu’à ses camarades, qu’ils en auraient retiré, tous ensemble, l’impression d’être considérés et appelés à de grands destins, ce qui est faux, naturellement, pour la plus grande partie d’entre eux, mais représente quand même un meilleur départ dans la vie que d’être ravalés dès l’enfance au matricule du tutoiement.

Le jeune élève va être vite conditionné. Dès qu’il saura lire et écrire, ses premiers livres « d’éveil » lui poseront leurs premières questions sous la forme autoritaire du tutoiement : « Dessine ici un arbre, une vache.... » ou encore : « Ecris les noms des fleurs que tu connais… » Ce n’est pas bien méchant, mais c’est ainsi que le pli se prend.

Au catéchisme, devenu catéchèse, l’accueil en TU n’es pas différent, mais ses effets en sont plus marquants, car il s’agit de choses plus graves : c’est l’âme qui se fait tutoyer d’entrée. L’ouvrage  « Pierres vivantes » qui fit couler tant d’encre à cause de certaines énormités qu’il contient, distille son enseignement par le biais d’une complicité, et non d’un magistère, que le tutoiement impose à l’enfant.

Tout cela semble si bien admis, que c’est un aspect des choses que personne, à ma connaissance n’a jusqu’à présent souligné. On pose pour principe que l’enfant s’y trouve plus à l’aise. C’est sans doute vrai eu premier degré. Cette pente-là est facile et semble toute naturelle C’est justement pourquoi l’on devrait s’en méfier...

Car dans cet immense combat de société qui divise le pays depuis déjà longtemps, et qui est loin d’être terminé, quelles que soient ses péripéties politiques, nos enfants sont un enjeu formidable : ils représentent l’avenir. Tout se tient et c'est au nom de l'égalitarisme et de l'uniformité larvée qu'on prive ainsi l'enfant de la déférence élémentaire et du respect qu'on lui doit.

Le tutoiement qui sort de la bouche d'un instituteur, fût-il de l'enseignement privé, et de la plupart de ceux qui font profession de s'occuper des enfants, est d'abord un acte politique, même s'il est inconscient. Cela fait partie du dressage, et cela donne des résultats. Déjà, une bonne partie de la France adulte, et toute la France juvénile, se tutoient, dans un grand dégoulinement de familiarité, qu'on appelle aujourd'hui la CONVIVIALITÉ, mot de cuistre, alibi de cuistre, camouflage de cuistre. De la convivialité à la vulgarité, le pas est vite franchi.

Dans de nombreux milieux du travail, le tutoiement devient un passeport obligatoire, dont on ne saurait se passer sous peine de déviationnisme bourgeois, alors que, chez les compagnons d'autrefois, c'était le vouvoiement qui marquait l'esprit de caste. De CASTE, pas de classe.

Au sein du parti communiste, comme du parti socialiste, dans la "République des camarades", le tutoiement est de rigueur. Seul François Mitterrand y faisait exception lorsqu'il était premier secrétaire de son parti. Il détestait qu'on le tutoie, et allait jusqu'à l'interdire, ce qui montre assez bien, à mon sens, que son socialisme était seulement d'ambition et non de conviction...

Mais, pour le commun des Français, aujourd'hui, il importe de ne pas être FIER, car ce mot-là, justement, par ce qu'il entraîne de dignité et de sentiment élevés, est devenu l'un des nouveaux parias de notre vocabulaire.

Cela peut paraître sympathique, amical, empreint de simplicité. En réalité, ce n'est qu'un piège. Quand les convenances du langage tombent, l'individu perd ses défenses naturelles, rabaissé au plus bas niveau de la civilité. N'a pas d'autre but non plus la destruction de la langue française préparée dans les laboratoires subversifs de l'Education nationale, et dont on mesure déjà les effets...

Pour ma part, j'ai été dressé autrement. Je me souviens de la voix du maître qui tombait de l'estrade : «Raspail! Vous me copierez cent fois...» ou : «Raspail! Sortez!»

J'avais neuf ans. C'était juste avant la guerre, dans une école laïque de village. Plus tard, au lycée (et ce n’est pas pour rien qu’on a cassé certaines façons, là aussi), les professeurs nous donnaient naturellement du MONSIEUR sans la moindre dérision : « Monsieur Raspail, au tableau ! » On se vouvoyait entre condisciples, réservant le tutoiement à un nombre restreint de camarades choisis.

Choisir, tout est là ! Ne rien se laisser imposer sur plan des usages, ni le tutoiement d’un égal, ni à plus forte raison celui d’un supérieur.

Il y avait une exception, de ce temps-là : le scoutisme. Je me souviens de ma surprise quand je m’étais aperçu, à onze ans, qu’il me fallait tutoyer cet imposant personnage en culottes courtes qui devait bien avoir trente ans, et qui s’appelait le scoutmestre, et qu’à l’intérieur de la troupe tout le monde se tutoyait aussi avec une sorte de gravité. Mais il s’agissait là d’une coutume de caste, d’un signe de reconnaissance réservé aux seuls initiés, comme la poignée de main gauche, l’engagement sur l’honneur, et les scalps de patrouille, car le scoutisme avait alors le génie de l’originalité, une soif de singularité forcenée, dont nous n’étions pas peu fiers. On se distinguait nettement de la masse, on s’élevait par degrés à l’intérieur de cette nouvelle chevalerie, mais il fallait s’en montrer digne.

En revanche, on vouvoyait Dieu. Cela nous semblait l’évidence même. La prière scoute chantée commençait ainsi: « Seigneur Jésus, apprenez-moi à être généreux, à Vous servir comme Vous le méritez... » C’est la plus belle prière que je connaisse. Il m’arrive encore de m’en servir. Voit-on comme la musique des mots eût été différente à la seconde personne du singulier, et comme elle parlerait autrement à l’âme: « ... A Te servir comme Tu le mérites. » ? C’est sec, cela n’a pas de grandeur, cela ne marque aucune distance, on dirait une formalité. Et cependant, aujourd’hui, c’est ainsi que l’on s’adresse à la Divinité, on lui applique le tutoiement le plus commun en français. Et le reste a capoté en série: la liturgie, le vocabulaire religieux, la musique sacrée, le comportement de la hiérarchie, la laïcisation du clergé, la banalisation du mystère, si l’on s’en tient aux seules lésions apparentes.

Dieu est devenu membre du parti socialiste. L’usage est de le tutoyer.

Au chapitre des habitudes, ou plutôt des attitudes, j’ai conservé celle de vouvoyer aussi les enfants qui ne me sont pas familiers, et d’appeler Monsieur ou Mademoiselle les jeunes gens que je rencontre pour la première fois. La surprise passé, ils me considèrent avec beaucoup plus de sympathie, et j’ai même l’impression qu’ils m’en sont reconnaissants. Nous tenons des conversations de bien meilleure venue, et les voilà qui se mettent à surveiller leur langage, c’est-à-dire à s’exprimer correctement en français, comme si d’avoir été traités avec déférence leur donnait des obligations nouvelles et salutaires. Les négations et les liaisons réapparaissent miraculeusement dans la phrase (je n’ai pas, au lieu de j’ai pas, c’est-t-un an lieu de c’est-h-un, etc.), la prononciation se redresse (je suis pour chuis, je ne sais pas pour chais pas, etc.), le goût de l’élégance verbale ressuscite. Faites vous-même l’essai, vous verrez. La dignité du langage et la dignité de la personne se confondent le plus souvent. Voilà pourquoi l’on parle si mal en ce moment…

Oserai-je avouer ici que mes enfants me vouvoient, et vouvoient également leur mère ? Cela depuis leur plus jeune âge, et sans aucun traumatisme. Sans vouloir convertir personne à ce qui peut paraître une ostentation, là aussi il faut constater que le langage courant au sein de la famille s’en trouve naturellement affiné. Et même dans les affrontements, qui ne manquent pas, un jour ou l’autre, vers la fin de l’adolescence, d’opposer les enfants à leurs parents, le vouvoiement tempère l’insolence et préserve de bien des blessures. Il en va de même entre époux, encore que ce vouvoiement-là soi devenu aujourd’hui une sorte de curiosité ethnographique, et Dieu sait pourtant les services de toutes sortes qu’il rend. Je le pratique depuis trente-cinq ans que je suis marié. C’est un jeu divertissant, dont on ne se lasse jamais. Même dans le langage le plus routinier, l’oreille est toujours agréablement surprise. Les scènes dites de ménage, fussent-elles conduites avec vigueur, s’en trouvent haussées à du joli théâtre. On a envie de s’applaudir et de souper ensemble au champagne après le spectacle. Toutes les femmes qui ont compté dans ma vie, je les ai toujours voussoyées, et réciproquement, pour l’honneur de l’amour en quelque sorte. Puis-je espérer, sans trop, y croire, que, tombant sur cette chronique, un jeune couple s’en trouvera convaincu, au moins curieux de tenter l’expérience ? En public, ils étonneront les autres, ce qui est déjà une satisfaction en ces temps d’uniformité où se nivellent médiocrement les convenances sociales. En privé, ils s’amuseront beaucoup aux mille et une subtilités, du vous, et je prends le pari qu’ils ne rebrousseront pas chemin de sitôt.

Dans un tout autre domaine, j’assistais récemment aux obsèques d’un ami cher, Christian, de son prénom, mais il avait aussi un nom, fort joli nom d’ailleurs. Eh bien, le prêtre, qui l’avait jamais vu vivant, qui ne l’avait même jamais vu du tout, le trairait à tu et à toi, selon les piètres dispositions du nouvel office des morts : « Christian, toi qui.. Christian, toi que... Christian, Dieu te... et ta famille... » Exactement comme pour les enfants sans défense ! En vertu de quoi, au nom de quoi, la familiarité doit-elle répandre ses flots visqueux jusque sur les cercueils ? Bossuet tutoyait-il les princes en prononçant leurs oraisons funèbres ? Or chaque défunt est un roi, enfin couronné, et sacré à jamais. Quant au nom patronymique de Christian, celui sans lequel le prénom de baptême n’est rien, il ne fut pas une seule fois prononcé ! Et pourquoi pas la fosse commune obligatoire, dans la même foulée...

Car me frappe tout autant, l’emploi généralisé du prénom seul, en lieu et place du patronyme précédé on non du prénom, et cela dans toutes les circonstances de la vie où il n’est pas nécessaire de présenter une carte d’identité : « C’est quoi, ton nom? Serge. Moi, c’est Jocelyne... » Serge qui ? Jocelyne qui ?

Les intéressés eux-mêmes semblent ne plus, s’en soucier. Il y a des dizaines de milliers de Serge, des dizaines de milliers de Jocelyne, alors qu’il n’existe qu’un seul Serge X., qu’une seule Jocelyne Z. Mais on se complaît dans l’anonymat. On y nage à l’aise, on s’y coule avec délices, on n’y fait pas de vague, semblable aux milliers de milliers, on n’éprouve pas le besoin de faire claquer son nom comme un drapeau et de brandir ce drapeau au dessus de la mêlée.

Qu’on se rassure, toutefois. Il nous restera au moins à chacun, le numéro matricule de la Sécurité sociale. Celui-là, on y tient.

J’en connais même qui se battront pour ça...

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Monsieur Raspail vous avez parfaitement raison,mais vous passez pour un vieux schnock ringard, aux yeux de la jeunesse d'aujourd'hui

La vie d'avant et celle d'aujourd'hui

Ce n'est qu'un tout petit exemple des occupations de la jeunesse d'aujourd'hui !!

Ce n'est pas nouveau

1 "Notre jeunesse aime le luxe, est grossière et mal élevée,  ne se soucie pas de l'autorité et n'a aucun respect pour les anciens, les personnes âgées. Les enfants d'aujourd'hui sont des tyrans. Ils ne se lèvent pas quand un aîné entre dans une pièce, répondent mal à leurs parents ... "
La citation est de Socrate, philosophe grec, qui a vécu de 469 à 399 avant Jésus Christ.

2. "Je n’ai aucun espoir pour l'avenir de notre pays, si les jeunes d'aujourd'hui seront demain aux commandes. Parce que est une jeunesse qui n’as pas de retenue, qui est effrénée et dangereuse"
La citation est tirée du poète grec Esidio, qui a vécu 720 années avant Jésus-Christ.

3. "Notre monde a atteint un stade critique. Les enfants n’écoutent plus leurs parents. La fin du monde ne peut pas être loin "
La citation est tirée d'un prêtre égyptien qui a vécu 2000 années avant Jésus-Christ.

4. "Cette jeunesse est pourrie jusque au fond du cœur. Elle ne sera jamais ce qu'elle était autrefois. Celle d’aujourd'hui ne sera pas en mesure de préserver notre culture ... "
La citation a été récemment découverte dans une carrière d'argile dans les ruines de Babylone, et aurais plus de 3000 ans.

5. "Aujourd'hui, le père craint les enfants. Les enfants croient être égaux à leur père et ils n’ont aucun respect ni estime pour les parents. Ce qu'ils veulent est d'être libre. 
Le professeur a peur des étudiants, les étudiants  insultent les professeurs; les jeunes exigent immediatamente la place occupée par les anciens, les anciens, pour ne pas sembler (apparaître) rétrogrades ou despotique, acceptent un tel échec et, pour couronner le tout, au nom de la liberté et de l'égalité, on proclame la liberté des sexes "
La citation est tirée du livre VIII de "La République" de Platon, qui a vécu de 428 à 347 avant Jésus Christ
Conclusion?
 

Il n'y a rien de nouveau sous le soleil!

Si nous avions un peu plus de sens historique, nous ne vivrions pas en marchant vers l’arrière cet à dire dans le sens inverse, ce serait tomber dans le "complexe du crabe." Nous ne serions pas "tirailles" par des pensées inutiles et pleurnicheurs. 
Ainsi nous serions plus sympathique à tout le monde, à commencer par nos enfants!

Nous devrions nous inquiéter moins et nous occuper plus des jeunes

 

Published by Un Sage
3 décembre 2017 7 03 /12 /décembre /2017 09:50

Nicolas Hulot a la diarrhée

Nicolas Hulot : "C'est chiant du matin au soir d'être ministre !"

Oh là là ,j'ai mal au trou du cul à force d'avaler des couleuvres ,j'ai une indigestion et la chiasse!!

Je vais prendre cette gélule de Diaretyl  

Corps: 

Nicolas Hulot était l'invité de Nicolas Demorand  sur France Inter. Le ministre de la Transition écologique et solidaire a donné son avis sur la fonction qu'il occupe depuis maintenant six mois.

"Si ça n’avançait pas, pourquoi rester ? C’est chiant du matin au soir d’être ministre. Ça n’a d’intérêt que si vous avez le sentiment de faire avancer les choses [...] Je serai heureux quand les décisions que j’ai prises auront engendré des transformations irréversibles" a-t-il déclaré à l'antenne.

Nicolas Hulot est revenu sur sa vision du poste de ministre. "Je suis là, non pas pour rester, pour exister. Je suis là pour faire. Même si parfois, évidemment, j'aimerais que ça avance plus vite", a regretté le ministre de la Transition écologique et solidaire.

Nicolas Hulot assure ne pas agiter la question de sa présence au gouvernement,  "comme une sorte de menace" avec ses différents interlocuteurs. Il reste car "on n'en part pas comme ça au bout de six mois"au prétexte de "quelques contrariétés""Il faut, poursuit-il, combiner les souffrances du court terme et les enjeux du long terme. C'est donc une synchronisation qui est fatigante, épuisante, mais on est là pour ça."

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Un des remèdes de grand-mère Monsieur Hulot pour faire passer votre chiasse quotidienne:

Buvez  chaque matin plusieurs "Ricard" secs, ça vous tournera  la ciboule dans le bon sens , vous fera voir la vie en rose et vous ferez caca agréablement!!

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A force de péter trop haut, le cul prend la place du cerveau.

  - Julos Beaucarne

 

 

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