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25 octobre 2017 3 25 /10 /octobre /2017 10:00

RECOMMANDATIONS POUR ÉCHAPPER TOTALEMENT À L’IMPÔT MACRON SUR LA FORTUNe

 la réforme de l’ISF annoncée par Emmanuel Macron avant son élection, avait failli prendre du retard. Finalement, le 27 septembre, le gouvernement a présenté le Projet de Loi de Finance 2018, incluant la création de l’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI), en lieu et place de l’ISF, dès le 1er janvier 2018.

L’assiette de l’Impôt sur la Fortune Immobilière sera concentrée sur l’immobilier:

Il est donc temps de prendre les mesures nécessaires pour y échapper.

Si vous avez trimer toute votre vie et si vous avec le gain de votre labeur fait des économies , et placées celles-ci dans l'immobilier pour vous assurer un complément de retraite, hé ben vous avez eu bien tort.

Vous auriez du comme les gros nantis placer votre pognon dans des "planques" non assujetties  à l'ISF:

Dans un yacht comme celui de Bernard Arnaud

Dans une belle "bagnolle", Ferrari, Jaguar etc.....

Dans un beau jet privé

Des des chevaux de course comme Bayrou

Des oeuvres d'art

Oui mais!!

Comme tout "français moyen" taillable et corvéable à merci, vous ne pouvez pas vous vous permettre de tels investissements qui rapportent  "peau de balle" ou coûtent la "peau des fesses" en entretien ,alors vous trinquez, merci Emmanuel

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Ce sont toujours les pauvres qui trinquent. Les puissants, eux, restent toujours les puissants. C’est le gros poisson qui avale toujours le petit.

Z - Vassilis Vassilikos

Published by Un Sage
24 octobre 2017 2 24 /10 /octobre /2017 16:43

Balance ton porc… sauf celui de La Chapelle-Pajol?

par

Jérôme Serri

Étonnant, le parallèle fait par la secrétaire d’Etat chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, entre le « harcèlement invisible » sur le boulevard Saint-Germain et celui inquiétant du quartier de La Chapelle-Pajol. Il fallait tout de même oser ! Surtout après le silence des autorités lors des agressions dont furent victimes les femmes dans ce quartier.

On notera avec stupéfaction que la Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes du Sénat ne rédigea alors aucun communiqué. Aucune sénatrice, aucun sénateur au sein de cette délégation, toute appartenance confondue, ne s’en est ému. Ayant adressé un mail à la Conseillère en charge du secrétariat de cette délégation pour m’étonner de ce silence, je ne reçus aucune réponse. Collaborateur parlementaire à l’époque, je n’étais pas dans mon rôle. Certes. Mais quel parlementaire a jamais reçu mandat pour se taire devant ces faits ?

La crainte confortable de l’homme politique français

Le progressisme se serait-il emparé de tous les esprits ? Nos parlementaires, désemparés devant la question de l’immigration, s’accorderaient-ils, dans le dos de leurs électeurs, à reconnaître peu à peu la cohabitation sous le même toit de la République de deux mentalités opposées ayant chacune leur cohérence propre ?

Pour un certain nombre d’orientaux (musulmans) de ce quartier Chapelle-Pajol, la femme est inférieure à l’homme, lui doit obéissance, doit rester à la maison et, si elle sort, doit le faire en se voilant. Seule dans la rue, habillée à l’occidentale, elle est une dévergondée qui, contrevenant à l’esprit de sa religion, ne mérite aucun respect. Agressée, elle n’est pas à plaindre et n’a pas à être défendue. Une fois posée l’inégalité hommes/femmes, la suite s’en déduit logiquement.

Ne pas dénoncer dans un communiqué la multiplication des agressions de ce type, c’est aller plus loin que la seule affirmation du droit à l’existence sur notre territoire de cette religion, c’est reconnaître sa cohérence interne, même quand celle-ci, chez certains de ses fidèles, est en contradiction avec nos principes républicains. C’est vouloir s’abstenir de juger à l’aune de nos valeurs des comportements régis selon d’autres règles et selon une autre conception de la nature des rapports hommes/femmes. C’est craindre de verser dans un ethnocentrisme où tenterait encore de s’affirmer une quelconque supériorité du sujet occidental. Cette crainte est un confort pour l’homme politique. Elle lui permet de ne pas voir ce qu’il voit, ce qui est le propre même de la mauvaise foi… et de l’irresponsabilité.

Balance ton porc… devant la justice

Pour la plupart des occidentaux (chrétiens, au moins par tradition), la femme est désormais l’égale de l’homme. Elle a les mêmes droits que lui, est libre de sortir, de travailler, de mener une vie indépendante. Aussi l’homme ne peut-il en aucun cas et d’aucune façon l’agresser. S’il le fait, il rompt la logique égalitaire propre à la relation hommes/femmes qui est à nos yeux d’occidentaux une évidente avancée de notre civilisation. L’agression est alors sanctionnée.

Le déferlement de dénonciations suscité par le #Balancetonporc que certains jugent nécessaire, d’autres excessif, doit donc trouver impérativement le chemin du droit comme c’est le cas, par exemple, avec la plainte récente pour « viol, agression sexuelle, harcèlement, intimidation » visant un célèbre intellectuel musulman ou avec celle de l’intéressé lui-même qui répond en portant plainte à son tour pour « dénonciation calomnieuse ». Ce qui signifie que l’expression de la légitime revendication des femmes doit se conformer aux principes fondamentaux de notre République et non pas se complaire dans le lynchage qu’appelle trop souvent la nature même des réseaux sociaux.

L’indignation sélective des progressistes

Ce qui est toutefois surprenant dans ce déchaînement si contraire au silence qui entoura hier les agressions de la Chapelle-Pajol, c’est le deux poids deux mesures de ceux qui choisissent avec quels loups hurler, avec lesquels se taire. Sans doute s’explique-t-il chez nombre de professionnels de l’indignation sélective par le désir d’être de parfaits progressistes : d’un côté ne plus tolérer chez les occidentaux que nous sommes le moindre signe d’une quelconque inégalité hommes/femmes, de l’autre tolérer cette inégalité chez les orientaux par souci de ne pas verser dans un ethnocentrisme coupable de ne pas savoir s’ouvrir à la singularité d’autres mentalités dont le droit à la différence serait imprescriptible.

Aussi devient-il urgent de sortir de cette schizophrénie idéologique, en prenant en compte toutes les conduites infériorisant ou dégradant les femmes. Ce qui exige que soit rappelé haut et fort que la République ne se divise pas, qu’elle ne considère qu’une seule logique : celle d’une égalité hommes/femmes entraînant la condamnation de toute atteinte à l’autonomie de la personne, en l’occurrence de la femme, puisque des milliers de tweets ne sont bien entendu pas rien.

 

Published by Un Sage
24 octobre 2017 2 24 /10 /octobre /2017 11:44

« Il reste 150 mosquées salafistes en France »

Entretien avec Alexandre Mendel 

par

Daoud Boughezala

Pour notre confrère Alexandre Mendel, auteur de Partition, chronique de la sécession islamiste en France (Editions de l’Artilleur, 2017), les territoires perdus de la République ne le sont pas pour tout le monde. Dans une partie croissante de notre pays, les islamistes grignotent peu à peu notre mode de vie. Ainsi les attentats ne sont-ils que la partie émergée d’un djihad sociétal bien plus pernicieux que le terrorisme. Entretien .

Daoud Boughezala. « Armée de la haine », « armistice », « résistants » : dans votre livre Partition, chronique de la sécession islamiste en France (Editions de l’Artilleur, 2017), vous employez un lexique très guerrier. Si la France est en guerre, comment définiriez-vous son ennemi : le terrorisme islamiste, l’islamisme, l’islam ?

Alexandre Mendel. Mais qui a employé le mot « guerre » sinon, dans les heures qui ont suivi les attentats du 13-Novembre, François Hollande lui-même ? Qui nous a déclaré la guerre, sinon les quelque 20000 sympathisants de la haine intégriste que répertorie  officiellement le ministère de l’Intérieur. On est en guerre, mais on ne fait pas la guerre. Incroyable, non ?

Et pourtant, nous avons déjà vécu la même situation, entre 1939 et 1940. C’était la « drôle de guerre ». Une guerre sans combat, sans prisonnier, quasiment sans perte humaine et, surtout, sans combat… Excusez-moi d’établir un parallèle mais c’est exactement ce qu’il se passe en France. On a été écrasés par la Blitzkrieg. On est en ce moment écrasé par ce que j’appelle dans Partition la « Spritzkrieg », en référence à ces bobos qui se saoulent de spritz à 10 euros le verre dans les beaux quartiers de Paris, forts de leur bien-pensance, et qui nous condamnent, de fait, puisqu’on les écoute, à une défaite inéluctable face à l’islam intégriste.

Notre ennemi utilise le Coran comme manuel de guerre pour justifier sa guerre.

Vous croyez que nos ennemis s’embarrassent de considérations lexicologiques et morales ? Eux, parlent de guerre, eux, parlent de combat, eux, envisagent la victoire. Ils n’ont pas modifié leur vocabulaire. Ils sont compréhensibles à tout un chacun. Nous, nous ne nommons même pas l’ennemi ! L’ennemi, c’est ce que l’islam de France est devenu depuis la moitié des années 1990. Une religion hybride, entre Coran et projet politique de conquête, qui s’est musclée à la faveur du salafisme importé du Moyen-Orient. Je ne désigne pas l’islam comme ennemi en soi. Je ne dis pas que l’islam est dévoyé. Je ne suis d’ailleurs pas islamologue mais journaliste ! Mais enfin, je constate que notre ennemi utilise le Coran comme manuel de guerre pour justifier sa guerre.

Alors que Gérard Collomb a pérennisé certaines dispositions de l’état d’urgence, pourquoi ne voyez-vous qu’un rideau de fumée dans la lutte antiterroriste que mènent les pouvoirs publics ?

On va aller loin avec les « visites » (observez d’ailleurs, le glissement sémantique opéré entre perquisitions et « visites ») de ces mosquées prévues dans la nouvelle loi antiterroriste, sorte d’état d’urgence light… On se ridiculise, encore une fois jusque dans le vocabulaire choisi. Et en face, les salafistes, eux, se moquent de nos états d’âme d’Occidentaux élevés à la bien-pensance gauchiste pendant des décennies. Pourquoi cette loi n’a-t-elle pas tout simplement prévu la fermeture totale des mosquées salafistes sur tout le territoire français ? Soit environ 150 lieux de culte sur notre sol. Était-ce si compliqué ? Je ne le crois pas.

Seule une poignée de mosquées a été fermée.

J’aurais aimé voir ce débat à l’Assemblée nationale, mené notamment par les multiculturalistes forcenés d’En Marche ! Parce que les tenants de cette « Spritzkrieg »  – les bobos – se seraient arraché les cheveux pour savoir qui est salafiste et qui ne l’est pas. Bref, le législateur aurait lui-même décidé de définir le salafisme. Avec ce résultat : on aurait fermé une dizaine de mosquées, pas plus. On aurait fait la différence entre le salafisme et… le salafisme. Par peur de l’amalgame.

Que s’est-il passé depuis les attentats du 13 novembre ? Une poignée de mosquées a été fermée. Sur cette poignée, beaucoup ont rouvert sous d’autres noms dans d’autres lieux. Je note aussi qu’on n’a pas fait de « prisonniers de guerre » parmi ces ennemis… Quelle farce !

De Trappes à Grasse en passant par Mulhouse, vous décrivez par le menu ces bouts de France où une « charia soft » a force de loi non-écrite : commerces halal, pressions sur la vente d’alcool et la tenue des femmes, refus de la mixité au travail, etc. Établissez-vous un continuum entre l’islamisation de la société et les attentats djihadistes ?

Quand vous laissez tout faire, quand vous cédez à toutes les exigences de la charia, ne vous étonnez pas que certains musulmans radicaux veuillent aller plus loin et accomplir ce que leur prescrit le Coran : mener le djihad, en l’occurrence. Pas besoin d’être Cédric Villani pour résoudre cette simple mais douloureuse équation. J’ai rencontré des patrons de bars qui commencent à céder à la pression d’extrémistes qui ne veulent plus d’alcool dans les débits de boisson. On est juge en son pays, dit-on. Donc, ces portions de pays sont sous la coupe de ces idéologues islamistes de quartiers qui ont déjà – ou croient déjà avoir – conquis le pays !

La puissance numérique des salafistes est telle que leur loi s’applique d’elle-même.

Eux ne s’embarrassent plus à commettre des attentats sanglants pour imposer leur mode de vie. Ils n’en ont pas besoin. Leur puissance numérique est telle que leur loi s’applique d’elle-même. Finalement, l’islamiste en territoire cédé n’a besoin d’aucune arme. Tandis que le djihadiste veut nous tuer dans les territoires qui ne sont pas encore partitionnés.

Par l’image violente de l’islam qu’ils propagent, les attentats ne nuisent-ils pas aux projets de « hallalisation » (Gilles Kepel) de la France ? 

Au contraire ! Plus ils nous tuent, plus on se déculotte. L’Occident qui aime battre sa coulpe se dit : « Peut-être que nous devrions changer notre rapport aux religions… » Vous noterez, d’ailleurs, que l’expression occidentale « fait religieux » remplace le mot « islam » dans nos concessions à la laïcité… Je prends un exemple, celui de l’interdiction du burkini, ce maillot de bain recouvrant intégralement le corps de la femme. Deux mois après les attentats de Nice, à l’été 2016, que fait le Conseil d’Etat, dont, je rappelle, les arrêts ont valeur de loi (en l’absence de loi, justement, sur le sujet) ? Il les autorise ! La plus haute autorité administrative, présidée en certaines circonstances par le Premier ministre lui-même, a donné raison aux extrémistes !

Le djihadisme nous tue physiquement, le communautarisme tue notre mode de vie

On leur accorde plus de droits, on écoute leurs doléances, même les plus délirantes… Ont-ils cessé de nous tuer ? Non ! Prenons un autre exemple, pas si lointain : la Grande-Bretagne qui laisse à peu près tout faire en termes de « hallalisation » du pays a eu également à souffrir, dans sa chair, d’attentats. Longtemps, on a cru que le modèle laïc et républicain français était, en soi, incompatible avec l’islam. Qu’on avait frustré, en quelque sorte, les musulmans. Puis est survenu l’attentat de Manchester, dans un pays qui a cédé, depuis longtemps, à presque toutes les exigences du communautarisme ! On a compris, ou on aurait dû comprendre pour être exact, qu’ils nous détestaient même quand on leur fait des courbettes. L’islam armé de kalachnikovs ou des fantasmes scénarisés par les associations communautaristes a le même but : imposer sa loi, partout. Le premier nous tue physiquement. Le second tue notre mode de vie.

 

Published by Un Sage
23 octobre 2017 1 23 /10 /octobre /2017 18:45

 

Published by Un Sage
23 octobre 2017 1 23 /10 /octobre /2017 18:31

Le diner aux chandelles d’Emmanuel et Brigitte Macron

Le président de la République, Emmanuel Macron, et sa femme Brigitte Macron ont célébré vendredi soir leurs dix ans de mariage au pavillon de la Lanterne, à Versailles.

Un dîner romantique à l’abri des regards. Le couple présidentiel a célébré son anniversaire de mariage vendredi soir au pavillon de la Lanterne, à Versailles. Le 20 octobre 2007, Emmanuel Macron, alors inspecteur des finances et Brigitte Trogneux, son ancienne professeure de 24 ans son aînée, se sont dit «oui» dans la salle des mariages de l’hôtel de ville du Touquet. Des images de la cérémonie avaient été diffusées en novembre 2016 sur France 3, dans le documentaire «Emmanuel Macron, la stratégie du météore».

"Vous avez fait ce que nous sommes aujourd’hui"

 On y aperçoit le futur président de la République, costume noir, chemise blanche et cravate rose, s’adressant à ses convives lors de la fête. «Chacune et chacun d’entre vous a été le témoin au cours de ces treize dernières années, de ce que nous avons vécu, déclare-t-il micro à la main. Et vous l’avez accepté, et vous avez fait ce que nous sommes aujourd’hui. […] Un couple pas tout à fait normal, même si je n’aime pas beaucoup cet adjectif, mais un couple qui existe. Et ça, c’est grâce à vous. Alors je voudrais vous remercier pour nous avoir accepté, pour nous avoir aimé comme nous...

 

Published by Un Sage
21 octobre 2017 6 21 /10 /octobre /2017 16:19

On dit que dans chaque homme il y a un cochon qui sommeille

Chez certains il se réveille

La libido ne fait pas dodo!!

L'affaire Weistein attise les déballages

L'écrivaine Ariane Fornia, fille de l'ex-ministre sarkozyste Eric Besson, accuse dans un article de L'Express jeudi l'ancien ministre socialiste et membre du Conseil constitutionnel Pierre Joxe de l'avoir agressée sexuellement au printemps 2010, un "mauvais canular" selon celui-ci.

Dans un post intitulé "#moiaussi: pour que la honte change de camp" publié sur son blog, Mme Fornia raconte plusieurs agressions sexuelles dont elle dit avoir été la victime, à treize ans puis à dix-neuf ans.

"La troisième agression, ou comment j’ai été agressée par un ancien ministre, n’est pas la +pire+, mais celle qui m’a intellectuellement le plus ébranlée", poursuit-elle.

Ariane Fornia affirme que cette agression a eu lieu l'un des soirs où elle avait coutume d'accompagner à l'opéra son père Eric Besson, alors ministre de l'Immigration, arrivé plus tard.

"Un vieux monsieur à l’air éminemment respectable s’assoit donc à ma droite. Son épouse est à sa droite à lui. J’insiste. Son épouse est là. La représentation commence. Et au bout de dix minutes, le vieux monsieur a sa main sur ma cuisse. Je me dis qu’il doit être très âgé, perturbé. Je le repousse gentiment. Il recommence. Rebelote. Une troisième fois", affirme-t-elle.

Elle poursuit: "Il commence à remonter ma jupe. Il glisse sa main à l’intérieur de ma cuisse, remonte vers mon entrejambe. J’enlève sa main plus fermement et je pousse un cri d’indignation étouffé, bouche fermée. Tout le monde me regarde. Il arrête. Dix minutes plus tard, il recommence. Je lui plante mes ongles dans la main. C’est un combat silencieux, grotesque, en plein Opéra Bastille" poursuit-elle.

Après avoir désigné sur son blog "un ancien ministre de Mitterrand, membre de plusieurs gouvernements, qui a occupé des fonctions régaliennes, qui est une grande figure de gauche, décoré de l’Ordre national du mérite et de plusieurs autres Ordres européens. Une statue vivante", Mme Fornia a affirmé à L'Express que son agresseur était Pierre Joxe.

"Je ne voulais pas qu'on commence à soupçonner tous les anciens ministres de François Mitterrand" justifie-t-elle.

Le récit a été confirmé à L'Express par Eric Besson: "J'étais fou de rage, absolument fou de rage. J'ai envisagé d'aller attendre Joxe en bas de chez lui pour lui casser la gueule, et puis j'ai entendu les inquiétudes de ma fille, dans une situation qui était

M. Joxe, qui n'a pas pu être contacté par l'AFP, a déclaré à L'Express qu'il s'agissait sans doute d'un "mauvais canular" : "J'aurais eu des gestes déplacés, moi ? Vous plaisantez, sans doute ?"

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Affaire Gilbert Rozon : M6 suspend "La France a un incroyable talent"

Le juré de l'émission phare de la chaîne est accusé par neuf femmes de harcèlement, attouchements et viol. Une affaire qui embarrasse la chaîne.

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Le béarnais jean Lassale,  Denis Baupin, Christophe Arend, Gilbert Cuzou;,Georges Tron etc ,sont dans le collimateur de la justice pour des faits similaires

 

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Sale histoire pour le maire de Cluses

Le Dauphiné libéré

Depuis mercredi matin, le maire de Cluses, Jean-Louis Mivel, 52 ans,était étrangement introuvable. Son absence à plusieurs réunions et événements officiels a même intrigué plusieurs élus locaux s’étonnant de son absence  inexpliquée au conseil communautaire privé mercredi soir.

La raison de cette absence s’est vite répandue dans la vallée de l’Arve. L’élu était en garde à vue au commissariat d’Annecy. D’après nos informations, le maire de Cluses, également vice-président du conseil départemental, a été interrogé pendant 36 heures dans les locaux de la police judiciaire des Savoie, à Annecy, dans le cadre d’une enquête sur une affaire de mœurs impliquant des mineurs. Son bureau de la mairie de Cluses aurait également été perquisitionné.

À l’issue de sa garde à vue, Jean-Louis Mivel a été relâché et laissé en liberté jeudi soir. Contacté, le parquet d’Annecy s’est refusé à tout commentaire. « Dès que j’ai été saisie de l’affaire, il y a plusieurs semaines, une information judiciaire a été ouverte et un juge d’instruction a été nommé », a simplement indiqué la procureur d’Annecy Véronique Denizot, rappelant l’importance de la présomption d‘innocence dans ce type de dossier.

Toujours d’après nos informations, Jean-Louis Mivel devrait être convoqué rapidement (sous quinze jours) devant le juge d’instruction en vue de sa mise en examen. Le magistrat instructeur s’est laissé quelques jours pour approfondir le dossier et décider des chefs d’inculpation et des éventuelles circonstances aggravantes. La remise en liberté du maire de Cluses indique en tout cas que la justice ne redoute pas un renouvellement des faits ou une éventuelle fuite d’ici-là.

Aucune communication n’a été faite quant à la gravité des faits qui pourraient être reprochés à l’élu, mais sa qualité d’ex-président de l’entraide internationale des Scouts de Cluses et d’ex-directeur adjoint du prestigieux lycée catholique Saint-Michel à Annecy donne évidemment un caractère très sensible à ce dossier.

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  • Les violences sexuelles portent atteinte aux droits fondamentaux de la personne notamment à son intégrité physique et psychologique.
    Elles sont l’expression de la volonté de pouvoir de l’auteur qui veut assujettir la victime. 
    Le responsable de l’agression sexuelle est l’auteur quelles que soient les circonstances de la violence sexuelle.

    Les conséquences pour les victimes quelle que soit la forme de la violence sexuelle sont importantes, nombreuses et durables, notamment anxiété, trouble du sommeil et/ou de l’alimentation, peurs intenses, la culpabilité, dépression, isolement, conduites à risque ou agressives… Ces manifestations sont propres à chaque victime et sont variables dans le temps. La victime doit être aidée et accompagnée.

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    Comment définit-on le harcèlement sexuel ?

    D’après le Code pénal (article 222-33), le harcèlement sexuel est le fait d’imposer à une personne, de façon répétée, des propos ou comportements à connotation sexuelle qui soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante.

    Est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d’user de toute forme de pression grave dans le but réel ou apparent d’obtenir un acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l’auteur des faits ou au profit d’un tiers.

    Ces faits sont punis de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende. Ces peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende lorsque les faits sont commis : par une personne qui abuse de l’autorité que lui confèrent ses fonctions ; sur un mineur de quinze ans ; sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur ; sur une personne dont la particulière vulnérabilité ou dépendance résultant de la précarité de sa situation économique ou sociale est apparente ou connue de leur auteur ; par plusieurs personnes agissant en qualité d’auteur ou de complice.

    Qu’est-ce qui le différencie d’une agression sexuelle ?

    Une agression sexuelle est, quant à elle, un geste à caractère sexuel, avec ou sans contact physique, commis par un individu sans le consentement de la personne visée ou, dans certains cas, notamment dans celui des enfants, par une manipulation affective ou par du chantage. Il s’agit d’un acte visant à assujettir une autre personne à ses propres désirs par un abus de pouvoir, par l’utilisation de la force ou de la contrainte, ou sous la menace implicite ou explicite. Une agression sexuelle porte atteinte aux droits fondamentaux, notamment à l’intégrité physique et psychologique, et à la sécurité de la personne.

    Cette définition s’applique peu importe l’âge, le sexe, la culture, l’origine, l’état civil, la religion et l’orientation sexuelle de la victime ou de l’agresseur sexuel ; le type de geste à caractère sexuel posé ; le lieu ou le milieu de vie dans lequel le geste à caractère sexuel a été fait ; les liens qui existent entre la victime et l’agresseur sexuel.

    Et le viol ?

    La loi distingue le viol (lorsqu’il y a pénétration, de quelque type que ce soit), qui est un crime, des autres agressions sexuelles (lorsqu’il n’y a pas de pénétration).

    Le délai de prescription dans le cadre d’un viol est de 10 ans, et jusqu’à 20 ans après la majorité pour une victime mineure au moment des faits.

    Le viol est puni de quinze ans d’emprisonnement, et jusqu’à vingt ans en cas de circonstances aggravantes, comme lorsque les faits sont commis par le conjoint de la victime, sur un mineur de 15 ans ou sur une personne vulnérable.

    Violences faites aux femmes

    Selon les chiffres publiés par l’observatoire national des violences faites aux femmes, une femme meurt tous les 3 jours (et un homme tous les quinze jours) en France, sous les coups de son conjoint ou ex-conjoint.

    On estime que 223 000 femmes sont victimes de violences de la part de leur conjoint ou de leur ex chaque année en France.

    84 000 femmes de 18-75 ans sont victimes chaque année de viols ou tentatives de viol. Des chiffres certainement sous-estimés selon les spécialistes.

     


     

     

     

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Published by Un Sage
20 octobre 2017 5 20 /10 /octobre /2017 15:24

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Deux étudiants en informatique marchent le long de leur campus lorsque l'un des deux dit à l'autre, admiratif :- Où est-ce que tu as trouvé ce vélo ?Le second lui répond :- Ben en fait, alors que je marchais, hier, et que j'étais dans mes pensées, je croise une super nana en vélo qui s'arrête devant moi, pose son vélo par terre, se déshabille entièrement et me dit :- Prends ce que tu veux !Le premier opine et lui dit :- Tu as raison, les vêtements auraient certainement été trop serrés.

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Une femme rencontre un très bel homme dans un bar.Ils parlent, ils se plaisent, ils partent ensemble. Ils arrivent chez lui, et il lui fait visiter son appartement. Elle remarque que sa chambre est remplie de petits nounours.Une centaine de petites peluches sur des étagères qui font toute la largeur du mur. Les petits oursons sur l'étagère du bas, les ours moyens, bien rangés, sur l'étagère du milieu, et les très grandes peluches sur l'étagère du haut.La femme est surprise de voir que cet homme, viril, a une aussi grande collection d'ours en peluche ; elle ne montre pas son étonnement, mais elle est émue par la sensibilité de cet homme. Elle se retourne vers lui ... Ils s'embrassent ... Ils s'arrachent leurs vêtements et font l'amour passionnément. Après une nuit intense en ébats et en émotions, ils restent couchés là avec l'esprit un peu dans le brouillard. La femme se retourne dans le lit et lui demande en souriant :- Alors, heureux ?Et l'homme lui répond :- Oui, ça peut aller ... tu peux choisir un lot sur l'étagère du bas

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Un homme surprend sa femme au lit au lit avec un nain.- Qu'est-ce que tu fais ? Tu m'avais promis de plus me tromper !- Exact ! Comme tu peux le constater, je diminue la dose...

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Une jeune nonne fait du stop et monte dans un camion. Le chauffeur tente sa chance auprès de la nonne qui parait intéressée par la chose.Le camion est alors garé sur un parking, et le couple fait son affaire sur la couchette.Les galipettes terminées, ils reprennent la route, et arrivant dans un village, la nonne demande au routier de s'arrêter car elle veut se confesser. Revenant au camion au bout d'un quart d'heure, le chauffeur lui demande :- Qu'est-ce que vous avez dit au bon Dieu ?- Que nous avions fait l'amour deux fois.- Mais on ne l'a fait qu'une seule fois !Et la nonne lui répond alors :- On ne va pas se quitter comme ça...

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La nouvelle institutrice a envie d'inculquer des notions de psychologie à ses élèves.Elle s'adresse à la classe en ces termes:- Que celui qui a l'impression d'être stupide par moment se lève !Après une bonne dizaine de secondes, Toto se lève... de mauvaise grâce.

L'institutrice:- Alors comme ça Toto, tu penses que de temps en temps tu peux être stupide ?- Non m'dame, mais ça me faisait de la peine de vous voir toute seule debout

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Un facteur fait sa tournée du matin en vélo et apporte une lettre à une belle femme blonde. Il sonne à la porte et dit à la charmante dame :- Bonjour, voici une lettre pour vous, elle arrive de loin par avion.- Vous n'êtes qu'un menteur monsieur, je vous ai vu arriver dans la rue avec votre vélo...
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Un homme et sa femme sont en train de dîner dans un restaurant très chic. Une superbe jeune femme arrive dans le restaurant, va directement vers l'homme et lui donne un long et doux baiser. Elle lui dit qu'elle le verra un peu plus tard et quitte le restaurant.Sa femme, énervée, le regarde et lui demande:- "Veux-tu bien me dire qui c'était ?"- "Qui, elle ?", répond le mari, "mais c'est ma maîtresse !"- "Et bien, j'aurai tout vu", lui répond la femme, "je demande le divorce!"- "Ecoute, je comprends ta réaction", commence le mari, "mais il faut que tu réalises que si nous divorçons, tu n'auras plus de voyages, plus de courses dans les boutiques à Paris, plus de vacances d'hiver sur les plages de la Barbade, plus d'été dans les Montagnes Rocheuses, plus de Porsche et de Jaguar, plus de club de yachting et de polo... Mais c'est ta décision et je la respecte."

Au même moment, un ami du couple entre dans le restaurant avec une superbe femme au bras.- "Qui est cette femme avec Jacques ?" demande la femme.- "C'est sa maîtresse" répond le mari.La femme répond alors : "La nôtre est plus jolie !"

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L'archevêque doit engager un nouveau jardinier. Le bedeau aimerait bien donner la place à son copain Ahmed, qui est au chômage, mais il sait que l'archevêque est très strict sur un point : tout le personnel doit être catholique. Alors le bedeau a une idée.-Ahmed, on va dire que tu t'es converti il y a plusieurs années à la religion catholique.-Ti gentil, mais ci pas possible ! Moi, ji connais rien à ta religion catholique...-Ne t'inquiète pas, Ahmed. Pour vérifier qu'un employé est un bon chrétien, Monseigneur pose toujours les mêmes questions. Il va te demander qui était la mère de Jésus, tu répondras : Marie. Qui était le père de Jésus, tu répondras : Joseph. Comment est mort Jésus, tu répondras : sur la croix.-Arrête, ji m'rapellerai jamais tout ça !-Je te le répète, ne t'inquiète pas, j'ai pensé à tout. Je marquerai les réponses sur ta tondeuse à gazon, tu n'auras qu'à les lire.Ahmed est engagé. Et le premier jour, alors qu'il tond la pelouse, l'archevêque s'approche de lui :-Ah ! Vous êtes le nouveau jardinier. Comment vous appelez-vous ?-Ahmed, m'sieur Monseigneur.-Mais...vous n'êtes pas catholique ?-Si, m'sieur Monseigneur. J'i m'suis converti.-Comme c'est beau ! Voyons si vous êtes un bon chrétien. Savez-vous comment s'appelait la mère de Jésus ?Ahmed se penche sur sa tondeuse.-Marie.-Et le père de Jésus ?Ahmed se repenche sur sa tondeuse.-Joseph.-Très bien. Et comment Jésus est-il mort ?Nouveau coup d'œil sur l'engin.-Sur la croix.-Parfait !L'archevêque s'éloigne, satisfait. Et puis, pour être vraiment certain que ce musulman est devenu un bon chrétien, il revient sur ses pas.-Pourriez-vous également me dire les noms des deux larrons qui étaient de chaque côté de Jésus sur la croix ?Ahmed se penche sur sa tondeuse et relève la tête avec un grand sourire.-Black et Decker

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20 octobre 2017 5 20 /10 /octobre /2017 11:30

 

 

Antidote

David Desgouilles

L' Invitée de L’Emission politique, Marine Le Pen n’a pas semblé plus assurée hier soir que lors de son débat raté de la présidentielle


Marine Le Pen était l’invitée de L’Emission politique, hier soir. Elle était attendue puisque c’était sa première grande émission depuis le fameux débat du second tour de l’élection présidentielle. Mais plus encore, la première après le départ de son stratège Florian Philippot. C’est d’abord sur l’euro, point d’achoppement avec ce dernier, qu’elle a été interrogée par François Lenglet. C’est peu dire qu’elle n’a pas été plus convaincante que face à Emmanuel Macron.

L’euro, monnaie gênante et trébuchante

Cette fois, ce n’est pas la distinction entre monnaie unique et monnaie commune, insuffisamment maîtrisée, qui l’a fait trébucher, mais le nouveau calendrier du FN, faisant de la souveraineté monétaire un aboutissement et non plus un préalable, laissant même entendre qu’une sortie de l’euro n’était plus obligatoire si on arrivait à réformer la gestion de la monnaie. Marine Le Pen favorable à la perspective de « l’euro sympa », c’était effectivement nouveau, mais on n’y croyait guère, pas davantage qu’elle-même à ce moment-là, d’ailleurs. Marine Le Pen sait très bien, pour l’avoir dit elle-même pendant deux campagnes présidentielles, que la monnaie est d’abord un outil politique et que sa gestion constitue une arme pour faire plier ceux qui refusent de rentrer dans le rang. Qu’on en parle aux Grecs qui ont été menacés par Mario Draghi de voir leurs banques privées de liquidités au plus fort de la crise de 2015.

Tout est à refaire

C’est ensuite Laurence Parisot qui est venu lui porter la contradiction sur le sujet du féminisme. C’est à ce moment-là que Marine Le Pen a été la plus à l’aise. Divine surprise pour la présidente du FN que cette invitée mystère : une ancienne présidente du Medef. Elle a ainsi pu développer la défense des petits et des sans-grades, au féminin. Un peu d’oxygène dans l’émission avant d’être confrontée à Gérald Darmanin qui lui a donné davantage de fil à retordre sur les questions fiscales.

Marine Le Pen ne semble pas avoir retrouvé la confiance et la sûreté qui étaient sa marque de fabrique il y a encore quelques mois. Le débat face à Emmanuel Macron pèse toujours et elle en est convenue elle-même, hier soir. Sa crédibilité en a souffert, en souffre toujours. Elle en paraît d’autant plus consciente que ce débat a été le point de départ du processus qui l’a amenée à se séparer de celui qui fut son stratège depuis 2009, pour se retrouver aujourd’hui isolée idéologiquement dans le parti qu’elle préside, et qui l’amène à dire et faire le contraire de ce qu’elle disait et faisait jusqu’au 3 mai dernier, sur les questions économiques.

Concurrents, un mot qui commence bien mal

Il ne sera pas facile de remonter la pente dans ces conditions, d’autant que Laurent Wauquiez vient aujourd’hui lui faire de la concurrence sur les questions identitaires, et que Florian Philippot développe sa petite entreprise, qu’on aurait tort de mésestimer.

Invité la veille chez Zemmour et Naulleau, il a fait preuve d’une efficacité d’autant plus grande qu’il est, au contraire de son ex-candidate, en total accord avec lui-même. S’il continue d’être considéré comme un bon client dans les médias audiovisuels, son nouveau parti pourrait se développer plus vite qu’on ne l’aurait cru. D’autant plus que la prochaine échéance électorale est européenne… Les divorces sont surprenants. C’est parfois celui dont on croit qu’il va souffrir le plus qui, contre toute attente, se libère, laissant l’autre bien plus malheureux que prévu.

 

 

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18 octobre 2017 3 18 /10 /octobre /2017 17:12

Une nouvelle caserne pour les pompiers

La caserne actuelle

 Construite en 1958, avenue Charles de Gaule ,alors que les pompiers n'intervenaient que pour les incendies, appelés par la sirène basée dans la clocher, cette caserne ne convient pas du tout au "Centre de Secours "actuel qui est sollicité non seulement pour les incendies, mais pour tous les accidents de la vie quotidienne, autos, malaise cardiaque, sauvetage d’animaux etc.……..

L'effectif est en hausse,avec beaucoup de véhicules divers d'intervention.

8 SPP et une 60ène de SPV.  6 SP en garde postée la journée, qui réalisent environ 1400 interventions à l’année.

Ils défendent en 1er appel La Roche sur Foron et quelques communes avoisinantes soit à minima 11 000 habitants.

Avec des moyens importants qui n'ont plus la place pour se garer!

1 VL ; 1 VLCG ; 1 VLHR ; 1 VTP ; 1 VTU ; 2 VSAV ; 1 VSR Ra ; 1 FPTGP etc…….

Le nouveau bâtiment:

Il aura une surface de 11671 m² pour recevoir un effectif de 90 pompiers sur un terrain de  7.400 m² appartenant à la CCPR.

Ce terrain a été acquis par celle-ci en 2011 pour un montant de 178.254 € et mis à la disposition du SDIS74 (service d'incendie et de secours de Haute Savoie).

Le bâtiment comprendra:

Des locaux opérationnels (standard d'alerte, vestiaires, sanitaires, remise des véhicules)

Des locaux administratifs:7 chambres de garde, salles de réunions et de formation:

Des espaces de vie et de détente ; Restauration, remise en forme, foyer.

Le financement:

Le coût total du chantier a été estimé à 3,7 millions HT

Outre la mise à disposition du terrain, la collectivité participe à hauteur de 20%, soit 760.000€ HT , en assurant la viabilisation du terrain.

Le permis de construire a été déposé en septembre 2017 et devrait permettre le démarrage des travaux au printemps 2018 ,pour une durée de 18 mois.

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Vieux souvenir d'école

et

D'un stage chez les pompiers de Paris,caserne "Blanche"

La chanson fétiche de l'ENSBA ( Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts)

On ne connait pas l'auteur des paroles et de la musique. On sait seulement qu'elle est d'origine angevine

En 1885 l'élève angevin Defaye introduisit cette chanson à l'École nationale des beaux-arts de Paris

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On sait que chacun sur la terre
A son faible ou sa passion,
passion,
Le pompier n'est qu'un militaire
Et fier de sa position,
Position,
Le sapeur et sa barbe noire
Est orgueilleux de son bonnet
Le pompier maitre de sa gloire
Dans son casque et dans son plumet

Un casque est une coiffure
Qui sied à leur figure
Un casque de pompier
Ça fait presque guerrier
Ça leur donne des airs d'vainqueurs
Qui siéent pas mal à leur valeur
Sous ce casque brillant
Ils ont l'air épatant vraiment
Zim la boum la boum la la lère
Zim la boum la boum tra la la
Zim la boum la boum la la lère
Zim la boum la boum tra la la
La la la la la la

On dit quelquefois au village
Qu'un casque ça sert à rien du tout
Rien du tout,
Ça sert à donner du courage
À ceux qui n'en ont pas du tout,
Pas du tout,
De loin ça prend des airs fantasques
Et chacun dit en les voyant,
En les voyant,
Ah ç'qu'ils sont beaux avec leurs casques
Ça leur donne des p'tits airs épatants
Tant, tant, tant, tant.

Un casque est une coiffure
Qui sied à leur figure
Un casque de pompier
Ça fait presque guerrier
Ça leur donne des airs d'vainqueurs
Qui siéent pas mal à leur valeur
Sous ce casque brillant
Ils ont l'air épatant vraiment
Zim la boum la boum la la lère
Zim la boum la boum tra la la
Zim la boum la boum la la lère
Zim la boum la boum tra la la
La la la la la la

On nous raconte dans l'histoire
Que les Romains et les Gaulois,
Les Gaulois,
Ces fils chéris de la victoire
Portaient des casques autrefois,
Autrefois,
Le casque est donc un héritage
De tous ces guerriers valeureux,
Oui valeureux,
Et si nous l'avons en partage
C'est que nous sommes des pompiers comme eux
Ah, ah, ah, ah.

Un casque est une coiffure
Qui sied à leur figure
Un casque de pompier
Ça fait presque guerrier
Ça leur donne des airs d'vainqueurs
Qui siéent pas mal à leur valeur
Sous ce casque brillant
Ils ont l'air épatant vraiment
Zim la boum la boum la la lère
Zim la boum la boum tra la la
Zim la boum la boum la la lère
Zim la boum la boum tra la la
La la la la la la

Le jour zoù ç'qu'il y a la fête
Il endosse ses plus beaux habits,
Beaux habits,
Il met son casque sur la tête
Pour aller flâner dans l'pays,
Dans l'pays,
Puis à l'ombre de sa visière
Lorsqu'il rencontre un jeun'tendron,
Jeun'tendron,
Il lance une œillade incendiaire
Le pompier est tellement polisson,
Son, son, son, son.

Un casque est une coiffure
Qui sied à leur figure
Un casque de pompier
Ça fait presque guerrier
Ça leur donne des airs d'vainqueurs
Qui siéent pas mal à leur valeur
Sous ce casque brillant
Ils ont l'air épatant vraiment
Zim la boum la boum la la lère
Zim la boum la boum tra la la
Zim la boum la boum la la lère
Zim la boum la boum tra la la
La la la la la la

On sait que chacun sur la terre
A son faible ou sa passion,
Sa passion,
Le pompier n'est qu'un militaire
Et fier de sa position,
Position,
S'il porte un casque sur la nuque
C'est pas pour faire des embarras,
Embarras,
C'est pour garantir sa perruque
Quand bien même il n'en aurait pas,
Ah, ah, ah, ah.

Un casque est une coiffure
Qui sied à leur figure
Un casque de pompier
Ça fait presque guerrier
Ça leur donne des airs d'vainqueurs
Qui siéent pas mal à leur valeur
Sous ce casque brillant
Ils ont l'air épatant vraiment
Zim la boum la boum la la lère
Zim la boum la boum tra la la
Zim la boum la boum la la lère
Zim la boum la boum tra la la
La la la la la la

On dit qu'à la provinciale
Les vieux reviennent volontiers,
Volontiers,
Ils retrouvent à la générale
Toute l'ardeur de leurs cadets,
Leurs cadets,
Laissant au vestiaire leurs casques
Qui par moments seraient gênant,
Rait gênant,
De l'École ils refont les frasques
Car enfin ce n'est qu'une fois l'an,
Ah, ah, ah, ah.

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On rigole bien avec le pompiers

1934

Chanson écrite par Charlys et Couvé pour les paroles et Henry Himmel

pour la musique

Chez nous au village,
On est à la page
Car nous avons fondé
Une compagnie d'pompiers
Ils se présentèrent
Chez "Mossieu" le Maire
Qui fit un grand discours
Pour fêter ce beau jour

Refrain
Nous avons bien rigolé
La fanfare a défilé
Avec les pompom...
Avec les pompom...
Avec les pompiers
Au bistrot l'on a trinqué
Et la jeunesse a dansé
Avec les pompom...
Avec les pompom...
Avec les pompiers
Y avait l'instituteur
Le préfet, le facteur,
La femme au pharmacien
Qui dit du mal de ses voisins
Dans le pays tout entier
On a fait tous les cafés
Avec les pompom...
Avec les pompom...
Avec les pompiers.

Hier soir une Delage
Prit feu dans l'garage
Ne voyant pas la nuit
Leur pompe à incendie
Ils prirent sans méfiance
La pompe à essence
Pour arroser le feu
Ils firent la queue leu leu

Refrain
Nous avons bien rigolé
Tout le village à flambé
Avec les pompom...
Avec les pompom...
Avec les pompiers
Comme ils étaient affolés
On a fait un défilé
Avec les pompom...
Avec les pompom...
Avec les pompiers
Le capitaine avait
Requis tous les objets
Des plats, des vieux chapeaux
Pour faire la chaîne avec de l'eau
Enfin, ça s'est arrêté
Y avait plus rien à brûler
Avec les pompom...
Avec les pompom...
Avec les pompiers

Cette chaude alerte
Causa bien des pertes
Après les explosions
Ce fut l'inondation
Fallut à la nage
Traverser l'village
Oui, mais pour boire un coup
Y avait plus d'eau du tout

Refrain
Nous avons bien rigolé
On a failli se noyer
Avec les pompom...
Avec les pompom...
Avec les pompiers
Comme il restait un café
On y rentra pour sécher
Avec les pompom...
Avec les pompom...
Avec les pompiers
Nous n'avions plus beaucoup
Les yeux en face des trous
Et tout en nous tordant
Nous tordions aussi nos vêtements
En famille on est rentré
Mais tous les administrés
Avaient leur pompon
Avaient leur pompon
Avec les pompiers.

 

 


 

Published by Un Sage
16 octobre 2017 1 16 /10 /octobre /2017 18:01
L’école n’est pas une démocratie
Et ne doit surtout pas le devenir
par
Gérard Mamou
Depuis trois ou quatre décennies, nous assistons, assez impavides, dans les « cités », à l’extension continue de la délinquance, l’enrichissement par le trafic de drogue, la « révolte » destructrice, le rejet de toute autorité. Au refus des règles communes, s’ajoutent les pratiques agressives, dites ethniques ou communautaristes, les brutales incidences racistes et sexistes. Les plus atteintes des zones concernées sont en quasi-sécession par rapport à la République. A l’anomie, à la relégation sociale, au relativisme moral, à la disparition des repères, s’ajoute le repli des Institutions, jusqu’au relatif, certes, mais très sensible abandon de l’Etat. Qui entraîne l’extraordinaire affaiblissement du rôle de l’école comme moyen de promotion socio-professionnelle et culturelle – jusqu’à l’illettrisme, l’obscurantisme, la délinquance.

La lâcheté, mère de tous les maux

Personne de sérieux ne doute plus que de nombreux collèges et lycées de France soient atteints, et pour certains gangrenés, par ces facteurs négatifs et destructeurs, désormais indurés et difficiles à appréhender, portant ainsi politiques et personnels au découragement, au pessimisme et donc à une prudente abstention, sinon à des réactions inadaptées et contre-productives. Dans son livre magnifique, Prof, Sylvain Bonnet met notamment l’accent sur le caractère insupportable de la violence dans l’école, et sur la « lâcheté » de tous ceux qui l’admettent, la tolèrent, sinon la justifient pour de perverses raisons idéologiques.

Or, d’une manière générale, tout ce qui empêche tels et tels établissements scolaires de fonctionner normalement, en particulier la violence sous toutes ses formes, constitue l’injustice principale, et de loin, de notre système scolaire et même social. Dans ce contexte spécifique, la mise en œuvre stricto sensu de la disposition administrative majeure que constitue la « carte scolaire » soulève une immense question. Certes, la carte scolaire en soi, et dans une situation disons normale, constitue un instrument nécessaire de bonne gestion des effectifs scolaires. Mais dans les conditions actuelles, sa stricte application pour contraindre des milliers d’élèves, souvent les plus défavorisés, à la scolarisation dans des établissements parmi les plus touchés par ces maux, représente bien plus qu’une simple et banale iniquité : un grave scandale, fruit de l’impéritie, de la faiblesse – et au fond de l’indifférence pour la situation réelle de ces adolescents.

« Les adultes refusent d’assumer la responsabilité du monde dans lequel ils ont placé les enfants »

Il apparaît, tout d’abord, intellectuellement invraisemblable que l’on continue aujourd’hui, contre les affirmations des enseignants les plus équilibrés et bienveillants et des véritables penseurs du sujet, progressistes et conservateurs confondus (Alain, Fernando Savater, Hannah Arendt…, sans même évoquer les fondateurs de notre école républicaine), à entretenir la confusion entre le pathologique autoritarisme et l’autorité sereine et désintéressée. « Que, dans ce monde de facilité et de gaspillage, l’école reste le seul lieu où il faille prendre de la peine, subir une discipline, essuyer des vexations, progresser pas à pas, vivre, comme on dit, « à la dure« , les enfants ne l’admettent pas parce qu’ils ne peuvent plus le comprendre. », relève Savater. De son côté, Hannah Arendt affirme avec force que « les enfants ne peuvent pas rejeter l’autorité des éducateurs comme s’ils se trouvaient opprimés par une majorité composée d’adultes – même si les méthodes modernes d’éducation ont effectivement essayé de mettre en pratique cette absurdité qui consiste à traiter les enfants comme une minorité opprimée qui a besoin de se libérer ! » Géniale pionnière dans ce champ, Arendt ajoute que « l’ambiguïté quant à l’actuelle disparition de l’autorité n’est pas possible. […] L’autorité a été abolie par les adultes, et cela ne peut signifier qu’une seule chose : que les adultes refusent d’assumer la responsabilité du monde dans lequel ils ont placé les enfants. »

Et c’est cette même réalité qui porte Savater à la conviction que « ce ne sont pas les enfants qui se rebellent contre l’autorité des éducateurs, ce sont les grands qui les y poussent, en les précédant dans cette rébellion. Et qui du coup se déchargent de l’obligation de leur opposer cette résistance cordiale mais ferme, patiente et complexe, qui doit les aider à grandir droit vers la liberté adulte. » Certes, c’est toute notre conception de l’autorité qui est à profondément repenser dans l’institution scolaire, l’autorité traditionnelle ne fonctionnant plus aujourd’hui de façon satisfaisante. Mais ce serait faire preuve d’un dangereux angélisme que de penser que nous pouvons, adultes, enfants et adolescents, nous dispenser d’un levier anthropologique aussi puissant que l’autorité. Cette vertu constitue le squelette de nos institutions : qu’on la brise, et c’est l’écroulement de toute notre vie sociale. Et quand l’Institution scolaire elle-même n’est plus convaincue de la légitimité et de la validité de ses propres valeurs, et des moyens de les faire vivre et respecter, comment ses serviteurs les plus loyaux et engagés pourraient-ils valablement les représenter et les assumer ?

Un cadre nécessaire

De son côté, le biologiste André Langaney, qui ne passe pas pour un esprit rétrograde, écrit ceci, qui est capital : « La contrepartie de l’indétermination [spécifiquement humaine] est très lourde […] : il faut, à toute population humaine, un cadre culturel et social assez strict pour assurer, sans faiblir, [des conditions d’existence] minimales. La rigidité des coutumes et de l’éducation est la contrepartie nécessaire de la souplesse du programme génétique et de l’adaptabilité des comportements. » Transposé de l’aspect biologique au plan éducatif, c’est très exactement le discours que tient Arendt lorsqu’elle affirme qu’on ne peut liquider la tradition et l’autorité dans l’école sans la vouer à disparaître.

Et d’ailleurs les enfants que l’autorité bienveillante a abandonnés ne peuvent plus la reconnaître nulle part, en auraient-ils un besoin éperdu, et serait-ce dans des maîtres de qualité. Fréquemment en révolte, toujours en souffrance, ils sont aussi de ceux qui grèvent le plus lourdement l’institution, comme le devenir de leurs camarades. Sylvain Bonnet n’hésite pas à affirmer qu’« un enfant en échec scolaire est, d’une certaine façon, un enfant battu. Continuellement repris, mal aimé, mais pas délaissé pour autant – ce qui eût constitué une contrepartie rendant la situation plus vivable -, il subit les vexations quotidiennes de celui qu’on dévalorise sans jamais le laisser en paix. Quoi d’étonnant à ce que certains finissent par devenir méchants ? ».

« Le facteur majeur de ségrégation scolaire et sociale n’est ni ethnique, ni socio-économique, mais socio-culturel »

Je reviens à la question qui me tient particulièrement à cœur : dans les conditions que nous venons de décrire, l’obligation en principe rigoureuse pour tous les élèves de se plier aux règles de la carte scolaire (on sait que certaines familles parviennent à s’en dégager…) revient à en condamner une part considérable à stagner dans des lieux débilitants, quand ce n’est pas à pâtir d’une délinquance tolérée et dans tous les cas à être privés du droit fondamental à bénéficier d’une instruction publique de bonne qualité leur garantissant un avenir digne.

L’administration semble se trouver ici à la croisée d’impératifs contradictoires : la générosité de l’égalité républicaine, l’impératif d’autorité et la nécessité d’une gestion nationale rationnelle des flux d’élèves. Mais en vérité ces trois obligations ne constituent qu’une unique responsabilité, fondamentale : celle de procurer à tous les enfants et adolescents, dans des conditions dignes, un enseignement de qualité. Ce qui implique que cette même administration s’en donne les moyens, largement moraux, en ce qu’ils relèvent du devoir d’état, de la bonté impersonnelle et du courage ! Cette tâche est d’autant plus instante et incontournable aujourd’hui pour l’Institution scolaire que son propre coût est notamment grevé par la difficile mais impérieuse nécessité d’intégrer des populations parfois fort éloignées de la culture française. Or, affirme Sylvain Bonnet, « il est essentiel de prendre en compte le fait qu’aujourd’hui le facteur majeur de ségrégation scolaire et sociale n’est ni ethnique, ni socio-économique, mais socio-culturel. Ce grave contresens provoque de profondes dérives dans l’enseignement proprement dit, qui prend ainsi des aspects extravagants et devient clairement contre-productif. » 

Condamnés par la carte scolaire

De sorte que si la mère Ecole promet, autorise, fait briller un avenir radieux accessible à tous, elle laisse finalement, dépassée par sa tâche, et généralement tétanisée par l’idéologie mortifère dominante, sa générosité se pervertir en laxisme. Et son autorité elle-même, comme l’affirme si bien Christophe Guilluy à propos précisément de la carte scolaire, se pervertit en « cynisme » autoritaristeCe qui explique que tant de chefs d’établissement aient le sentiment, entre amertume et refus de la résignation, de ramer à contre-courant, d’atténuer plutôt que de supprimer ces dysfonctionnements devenus quasiment structurels. Pour eux, c’est un crève-cœur que de devoir refuser d’inscrire dans leur établissement tel élève sérieux mais qui souffre de ne pouvoir travailler sérieusement dans l’établissement où il a été affecté ! Il y a là quelque chose d’inadmissible fonctionnellement, mais surtout d’insoutenable au plan moral et éthique.

Et faut-il vraiment expliquer aux analystes et « politiques » qui ne cessent de nous proposer des réformes déstructurantes de l’éducation que les plus graves victimes de ce désordre sont, dans le principe comme dans la réalité statistique, les enfants des familles les plus défavorisées socio-économiquement ? Fréquemment domiciliées dans les zones et quartiers les plus démunis, ces familles ne disposent pas des moyens culturels, financiers ou sociaux qui les rendraient capables de faire échapper leurs enfants à la carte scolaire, ce qui conduit dans un certain nombre de cas à leur condamnation scolaire pure et simple – c’est-à-dire bien souvent à une absence d’avenir. Est-il injustice plus insupportable ?

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