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9 octobre 2017 1 09 /10 /octobre /2017 17:59

Nouveau radar tourelle : il sanctionne tout ou presque !

D’ici fin 2018, le gouvernement prévoit d’installer 455 radars d’un nouveau genre sur les routes de France. Surnommés tourelles, ils devraient être capables de sanctionner quasiment toutes les infractions en même temps. Y compris si vous oubliez de mettre votre ceinture de sécurité. Explications. 

"Big Brother is watching you" ! Si vous êtes adepte du non-respect des distances de sécurité, des dépassements dangereux, du franchissement des lignes continues et que vous utilisez régulièrement votre téléphone mobile au volant tout en omettant de mettre votre ceinture de sécurité, sachez qu’au-delà d’enfreindre toutes les règles, vous risquez surtout de vous retrouver dépourvu de points si vous croisez un radar d’un nouveau genre répondant au doux nom de tourelle. En effet, au-delà des dépassements de vitesse, ce radar multifonctions vise à inciter les conducteurs à respecter l'intégralité du Code de la route. Considérés par certains comme LA nouvelle terreur des routes, il constitue une véritable arme de sécurité routière voulue par le gouvernement puisqu’il permet de verbaliser plusieurs infractions différentes en même temps. Infractions qui, jusqu’à présent, étaient repérées grâce à des contrôles routiers effectués par les forces de l’ordre.

Une belle opération pour l’Etat

De fait, si en 2017, seuls quelques spécimens ont été implantés au bord des routes, d’ici la fin de l’année 2018, la future bête noire des automobilistes devrait se multiplier pour atteindre le nombre de 455. Un chiffre bien plus élevé que ce qui avait été envisagé au départ puisqu’il était simplement question d’en implanter une vingtaine d’ici la fin de l’année prochaine.

Pour l’heure, il semblerait que ces radars tout-en-un ne se concentrent que sur certaines tâches (excès de vitesse, franchissement des feux rouges et des passages à niveau). Ils pourraient toutefois se révéler particulièrement pratiques pour les forces de l’ordre puisqu’ils sont conçus pour être déplacés d’une tourelle à l’autre et passer pour des cabines leurres faites pour tromper les automobilistes. D’ici 2020, 6 000 cabines de ce type, dont seulement une sur cinq détiendront les fameux radars, devraient être installées. Un déploiement qui émane de la volonté du gouvernement de réduire le taux de mortalité sur les routes mais qui devrait, dans le même temps, permettre à l’Etat de réaliser une belle opération financière puisque les recettes des amendes forfaitaires devraient augmenter de 10 % en 2018 pour atteindre 928 millions d’euros.

Published by Un Sage
9 octobre 2017 1 09 /10 /octobre /2017 10:25

 

 

Voilà le "beau" prospectus, bien, diffusé à l'occasion ce la foire de la Saint- Denis par la municipalité Rochoise.

Si vous n'êtes  pas "miro" vous lisez bien que "les stationnements sont interdit dans les lieux indiqués"'(avec en plus le panneau adéquat), et que votre véhicule gênant sera mis en fourrière.

Eh ben, nenni  Monchu,vous avez mal lu, car c'est la circulation qui est interdite comme vous l'indique un appel téléphonique au 04 50 25 90 00.

Un bravo au rédacteur de ce prospectus erroné, il mérite bien d'accèder à l'échelon supérieur !!!

Notre "Timonier", très occupé par ailleurs, n'a certainement pas vérifié ce document avant sa diffusion ,il était absent .Le bateau dérivait a son gré

 

Published by Un Sage
8 octobre 2017 7 08 /10 /octobre /2017 09:40

Brigitte Macron réplique : "Je ne compte pas me laisser dicter ma conduite"

Dans une interview accordée au magazine Point de Vue, la Première dame a répondu aux piques de ses détracteurs. Elle a tenu à clarifier sa position à l'Elysée, tout en insistant sur le fait que les critiques ne changeront pas l'amour qu'elle porte au chef de l'Etat. 

En kiosque mercredi dernier, le magazine Point de Vue a dévoilé une interview sans langue de bois de Brigitte Macron, dans laquelle elle répond à ses détracteurs : "Je ne compte pas me laisser dicter ma conduite par la médiocrité des perfidies anonymes ou les malveillances", rapporte Closer. Avec deux pétitions lancées à son encontre par Thierry Paul Vallette, la plus récente portant celle sur ses tenues jugées "non appropriées", la Première dame a tenu à rappeler à quel point ces injures lui sont égales : "Je reçois beaucoup de messages d’encouragements et d’amitié. C’est avec ceux-là que je souhaite avancer".

Brigitte Macron a également insisté sur le fait qu’elle n’influençait pas, contrairement aux rumeurs, le président de la République : "J'essaie, à ma manière, de me rendre utile aux Françaises et aux Français qui me sollicitent", relate AuFéminin

"Les Français doivent savoir ce que je fais"

Côté vie de couple, la Première dame a expliqué au magazine que sa différence d’âge avec Emmanuel Macron, qui est de 24 ans, ne changeait en aucun cas l’amour qu’elle lui porte et le bonheur qu’ils partagent : "C’est le couple que nous formons qui nous protège. Notre union et le bonheur que nous avons à être et agir ensemble sont notre force", avant d’ajouter : "Mon époux dit souvent que pour être efficace, il faut être heureux et j’ai un certain talent pour le bonheur. Pour le bonheur et pour la liberté".

Brigitte Macron a aussi tenu à clarifier sa position à l’Elysée : "Les Français doivent savoir ce que je fais, comment je le fais et avec quels moyens. Je me suis mise au travail, bénévolement bien entendu, dès notre arrivée à l'Elysée. Je travaille en équipe avec le cabinet du Président".

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L'amour n'a point d'âge; il est toujours naissantLes poètes l'ont dit.

(Blaise Pascal)

Published by Un Sage
8 octobre 2017 7 08 /10 /octobre /2017 09:20

Comment Brigitte Macron choisit ses tenues ? La première dame se confie

 

Brigitte Macron adore la mode et ce, depuis toujours.

Brigitte Macron a un goût certain pour la mode. La première dame le prouve à chacune de ses apparitions publiques. Que ce soit lors d'évènements impérieux ou lors de visites plus informelles, elle prend soin de choisir avec tact et audace ses atours. Et ce n'est pas nouveau: "J'ai toujours apporté un soin particulier à mes tenues et j'ai toujours tenu à les choisir moi-même. Cela ne date pas de notre arrivée à l'Elysée", a-t-elle confié à nos confrères du magazine Point de vue.

Parmi ses créateurs préférés trônent en tête de liste les Français. Patriotisme oblige. "Pour ma part, je porte des créations françaises lorsque je suis en représentation, ici, comme à l'étranger". Et si elle ne cache pas son amour pour les créations de Nicolas Ghesquière, directeur artistique de la maison Louis Vuitton, elle ne ferme pas pour autant la porte aux créateurs moins connus. De nombreux créateurs lui proposent régulièrement leurs créations. "J'apprécie que de jeunes stylistes souhaitent me présenter leurs créations, que je porte

Si elle choisit ses tenues seule, Brigitte Macron peut compter sur Mathieu Barthelat Colin pour l'aider dans son shopping. "Son rapport au vêtement n'a pas changé. Il n'est pas segmenté. Contrairement à ce qu'on a pu lire, aucun styliste n'a été embauché. Mathieu Barthelat Colin, l'aide à titre bénévole dans son shopping, elle reste libre de ses choix", a confié son directeur de cabinet au magazine Grazia. "Elle avait bien essayé d'aller en boutique pour s'acheter des chaussures, mais tous les curieux prenaient ses pieds en photos

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Soi-disant toujours amoureux malgré la différence d'âge
Oh là là, elle me ruine avec ses tenues

. Quand on aime quelqu'un, on fait tout pour lui faire plaisir. 

Published by Un Sage
8 octobre 2017 7 08 /10 /octobre /2017 09:00

Où l’on apprend qu’Emmanuel Macron fume des cigares dans son bureau

Selon des informations de L'Express confirmées par l'Élysée, Emmanuel Macron est un consommateur de cigares.

Dans son édition en date du mercredi 4 octobre, nos confrères de L'Express consacrent un dossier spécial à la vie nocturne d'Emmanuel Macron. On y apprend notamment que le président de la République dort très peu, "entre 2 heures et 7 heures du matin", termine très tard ses réunions à l'Élysée et communique énormément avec ses plus proches collaborateurs à toute heure du jour et surtout de la nuit.

 Mais on découvre également qu'Emmanuel Macron est un fumeur régulier de cigares. Cette information de L'Express a été confirmée par l'Élysée. Nos confrères ont eu accès à un document assez particulier. En avril dernier, Emmanuel Macron veut solliciter un prêt pour financer la campagne présidentielle. Pour cela, il doit légalement souscrire à une assurance décès. Il remplit alors un formulaire de renseignements médicaux où il répond "oui" à la question "Êtes-vous fumeur ?". Le président de la République est donc un consommateur averti de cigares et il l'était déjà lorsqu'il était ministre de l'Économie.

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On ne dit pas si ce sont des "Havane"fournis gratuitement par la famille Castro!!

Published by Un Sage
7 octobre 2017 6 07 /10 /octobre /2017 10:10

Nouveau radar tourelle : il sanctionne tout ou presque !

D’ici fin 2018, le gouvernement prévoit d’installer 455 radars d’un nouveau genre sur les routes de France. Surnommés tourelles, ils devraient être capables de sanctionner quasiment toutes les infractions en même temps. Y compris si vous oubliez de mettre votre ceinture de sécurité. Explications. 

"Big Brother is watching you" ! Si vous êtes adepte du non-respect des distances de sécurité, des dépassements dangereux, du franchissement des lignes continues et que vous utilisez régulièrement votre téléphone mobile au volant tout en omettant de mettre votre ceinture de sécurité, sachez qu’au-delà d’enfreindre toutes les règles, vous risquez surtout de vous retrouver dépourvu de points si vous croisez un radar d’un nouveau genre répondant au doux nom de tourelle. En effet, au-delà des dépassements de vitesse, ce radar multifonctions vise à inciter les conducteurs à respecter l'intégralité du Code de la route. Considérés par certains comme LA nouvelle terreur des routes, il constitue une véritable arme de sécurité routière voulue par le gouvernement puisqu’il permet de verbaliser plusieurs infractions différentes en même temps. Infractions qui, jusqu’à présent, étaient repérées grâce à des contrôles routiers effectués par les forces de l’ordre.

Une belle opération pour l’Etat

De fait, si en 2017, seuls quelques spécimens ont été implantés au bord des routes, d’ici la fin de l’année 2018, la future bête noire des automobilistes devrait se multiplier pour atteindre le nombre de 455. Un chiffre bien plus élevé que ce qui avait été envisagé au départ puisqu’il était simplement question d’en implanter une vingtaine d’ici la fin de l’année prochaine.

Pour l’heure, il semblerait que ces radars tout-en-un ne se concentrent que sur certaines tâches (excès de vitesse, franchissement des feux rouges et des passages à niveau). Ils pourraient toutefois se révéler particulièrement pratiques pour les forces de l’ordre puisqu’ils sont conçus pour être déplacés d’une tourelle à l’autre et passer pour des cabines leurres faites pour tromper les automobilistes. D’ici 2020, 6 000 cabines de ce type, dont seulement une sur cinq détiendront les fameux radars, devraient être installées. Un déploiement qui émane de la volonté du gouvernement de réduire le taux de mortalité sur les routes mais qui devrait, dans le même temps, permettre à l’Etat de réaliser une belle opération financière puisque les recettes des amendes forfaitaires devraient augmenter de 10 % en 2018 pour atteindre 928 millions d’euros.

Published by Un Sage
7 octobre 2017 6 07 /10 /octobre /2017 10:00

"Au lieu de foutre le bordel..." La petite phrase de Macron sur GM&S crée la polémique

Vincent Michelon

SOCIAL - Alors que des salariés de l'équipementier de GM&S ont tenté en vain ce mercredi de rencontrer Emmanuel Macron, en déplacement en Corrèze sur le thème de la formation, une formule du chef de l'Etat commence à faire beaucoup de bruit. Une citation "sortie de son contexte", selon son porte-parole.

Emmanuel Macron ne les a pas rencontrés, mercredi après-midi, mais il a eu quelques mots pour eux, dont un en particulier qui risque de ne pas passer inaperçu. Alors que les salariés de l'équipementier automobile creusois GM&S manifestaient à Egletons (Corrèze), en marge d'un déplacement du Président sur le thème de l'apprentissage, ils ont été accueillis par des gaz lacrymogène. Des représentants de la CGT et des élus qui avaient demandé à rencontrer le chef de l'Etat se sont heurtés à un barrage de gendarmes mobiles, dans une ambiance un peu surchauffée.

Quelques instants plus tard, le chef de l'Etat a inauguré le campus de l'École d'application aux métiers des travaux publics (EATP) d'Egletons, en Corrèze. Après avoir rencontré quelques apprentis, le voici qui lâche ces mots lors d'un échange avec le président de la région Nouvelle Aquitaine, Alain Rousset :

"Il y en a certains qui, au lieu de foutre le bordel, feraient mieux d'aller regarder s'il y a des postes... Parce qu'ils ont les qualifications pour le faire"

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C'est bien ce que pense la majorité des français sensés

 mais

Toute vérité n'est pas bonne à dire

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Macron et "le bordel": "Il ne désigne personne par cette expression" estime Aurore Bergé

(porte parole de LREM)

La porte-parole du groupe La République en marche à l'Assemblée nationale Aurore Bergé a estimé ce mercredi que la sortie d'Emmanuel Macron, selon qui "certains, au lieu de foutre le bordel, feraient mieux de regarder s'ils peuvent avoir des postes", "ne désigne personne". "Ce que dit le président de la République, c'est assez simple. Il dit qu'il y a du boulot, de l'emploi, des solutions qui existent", a-t-elle déclaré.

 

 

 

Published by Un Sage
4 octobre 2017 3 04 /10 /octobre /2017 13:43

Les petits Rochois ne grandiront plus

Si tu veux grandir

Le festival populaire de la soupe est annulé

Le festival de  la soupd prévu initialement le 28 octobre prochain est annulé faute de salle disponible.

A la Ste famille le gymnase sera en travaux, le palais de la foire accueillera le salon "Mieux vivre".

Mille bols avaient été commandés pour cette manifestation dont une partie à déja été livrée.

"ce n'est pas du bol"

C'est la soupe à la grimace

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« Vas manger ta soupe si tu veux grandir
Je n’ai pas de soupe pour vous obéir
Le bois que je coupe est pour le seigneur
Notre maman coupe l’herbe des chemins
On mange la soupe des petits lapins

Le roi a dit rantanplan-plan-plan
A son chambellan-lan-lan-lan-lan
Je n’aime pas les enfants-fants-fants
Qui restent petits longtemps…

Vas manger ta soupe si tu veux grandir
Je n’ai pas de soupe pour vous obéir
Le roi a sans doute du pain et du vin
Et nous de la soupe de perlimpinpin

Le roi a dit rantanplan-plan-plan
A son chambellan-lan-lan-lan-lan
Je n’aime pas les enfants-fants-fants
Qui restent petits longtemps…

Vas manger ta soupe si tu veux grandir
Je n’ai pas de soupe pour vous obéir
Et le loup emporte les petits enfants
Qui n’ont pas de soupe pour devenir grands

Le roi a dit rantanplan-plan-plan
A son chambellan-lan-lan-lan-lan
Je n’aime pas les enfants-fants-fants
Qui restent petits longtemps… »

 

 

 

Published by Un Sage
3 octobre 2017 2 03 /10 /octobre /2017 16:00

Brigitte Macron : qui est son très discret styliste ?

Le style vestimentaire de Brigitte Macron est très régulièrement commenté dans la presse. Le New York Times a donc enquêté sur celui qui œuvre en coulisses et de manière quasi incognito : son styliste.

Dans un article consacré au styliste de Brigitte Macron, le New York Times annonce la couleur d’entrée de jeu : "c’est un homme de mystère". Au moment où le look de Brigitte Macron est régulièrement commenté et fait même l’objet d’une pétition, le journal américain s’est intéressé à ce trentenaire: Mathieu Barthelat Colin.

Le styliste est aussi discret que la tulle vaporeuse et le quotidien explique même que tous ses interlocuteurs ont refusé de confirmer son identité. "Les personnes en charge des relations publiques nient le connaître (…) Demandez en personne et les gens changeront de sujet (…) Les designers dont la première dame porte les vêtements, expliquent rapidement qu’ils ne l’ont jamais rencontré", écrit le New York Times. Quant aux demandes d’interview en direct, elles ont systématiquement été refusées.

A l’été dernier, Gala assurait que Mathieu Barthelat était rémunéré via les fonds personnels de Brigitte Macron. C’est lui qui l’aurait convaincu de privilégier des marques comme Louis Vuitton et d’user d’un maquillage plus léger.

Un parcours loin de l’Elysée

Mathieu Barthelat aurait travaillé pour l’émission du Bachelor mais aussi pour quelques personnalités françaises dont la chanteuse Lio ou l’acteur Charles Berling, selon Gala. C’est au théâtre qu’il aurait osé approcher Brigitte Macron. "Dans un moment digne d’un fan, il a trouvé le courage d’aller se présenter lui-même. Rapidement après, il a reçu un appel", écrit le New York Times, précisant que tout cela, c’était avant que la femme d’Emmanuel Macron ne devienne un objet médiatique à part entière.

Les détails sur le styliste peuvent se glâner sur son compte Instagram où l’on apprend notamment que Mathieu Barthelat possède une maison en Bourgogne et qu’il est le parrain d’une petite fille. Il est également propriétaire d’un chien, Mouchkine.

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Styliste atti­tré de la première dame, le nom de ce jeune homme de 34 ans pour­rait être utilisé comme syno­nyme du mot discré­tion. De lui, on sait peu de choses, si ce n’est qu’a­vant d’ha­biller l’épouse du chef de l’Etat, il avait travaillé pour la commu­ni­ca­tion de marques de prêt-à-porter telles que Zadig et Voltaire, avant de se tour­ner vers des milieux plus artis­tiques. Charles Berling, l’an­cienne Miss France Laury Thil­le­man ou encore les candi­dats de The Voiceou du Bache­lor, ont ainsi pu, un temps, profi­ter de ses conseils mode avisés, comme le précise le New York Times qui lui a consa­cré un article.C’est en fin d’an­née dernière que sa route a croisé celle de Brigitte Macron, lors d’une soirée que tous deux passaient au théâtre. Une rencontre qui a débou­ché sur une colla­bo­ra­tion profes­sion­nelle, couron­née du succès qu’on lui connaît. Une réus­site sur laquelle il est quasi­ment impos­sible de l’in­ter­ro­ger, car Mathieu Barthe­lat Colin fuit conscien­cieu­se­ment l’at­ten­tion média­tique, comme le précise le jour­nal améri­cain : « Si vous arri­vez à le joindre, M. Barthe­lat […] décli­nera – poli­ment, ferme­ment, et de manière répé­tée ,d’être inter­viewé  ».

C’est en fin d’an­née dernière que sa route a croisé celle de Brigitte Macron, lors d’une soirée que tous deux passaient au théâtre. Une rencontre qui a débou­ché sur une colla­bo­ra­tion profes­sion­nelle, couron­née du succès qu’on lui connaît. Une réus­site sur laquelle il est quasi­ment impos­sible de l’in­ter­ro­ger, car Mathieu Barthe­lat Colin fuit conscien­cieu­se­ment l’at­ten­tion média­tique, comme le précise le jour­nal améri­cain : « Si vous arri­vez à le joindre, M. Barthe­lat […] décli­nera – poli­ment, ferme­ment, et de manière répé­tée ,d’être inter­viewé  ».

Car ce que le jeune homme préfère, c’est passer du temps au vert dans sa maison bour­gui­gnonne. Sur son compte Insta­gram, les clichés de son « para­dis » comme il l’ap­pelle fleu­rissent. D’autres photos montrent un autre lieu cher à son cœur où il semble passer une partie de son temps, et cet endroit c’est Le Touquet, ville de cœur de Brigitte et Emma­nuel Macron.

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"La vieillesse ne devient médiocre que lorsqu'elle prend des airs de jeunesse"

Hermann Hesse

                     

 

 

 

 
 
 
Published by Un Sage
3 octobre 2017 2 03 /10 /octobre /2017 15:38
Mayotte, la bombe migratoire qui vient… et que l’Etat laisse venir
par
Matthieu Baumier
 

Mi-septembre, le député LR de Mayotte Mansour Kamardine a poussé un coup de gueulesur Outre-Mer 1ere/Francetvinfo au sujet de la situation du département français de l’océan Indien, évoquant les migrations et « l’établissement par le ministre des Affaires étrangères d’une feuille de route tendant à faciliter la circulation des Comoriens vers Mayotte ». Et dans un entretien paru sur Causeur, le député allait plus loin : « À Mayotte, l’État français laisse faire le remplacement de population ». Selon RFI, le 19 septembre 2017, reprenant une annonce faite la vieille par le ministère des Affaires étrangères, « les visas entre Mayotte et les Comores seront bientôt gratuits ». On ne soupçonnera pas Mansour Kamardine d’être xénophobe ou raciste. Alors, que se passe-t-il à Mayotte ?

Mayotte, une autre France

Rappel utile à l’attention des députés LREM : Mayotte, ce sont bien des îles de l’océan Indien. Le statut ? Depuis 2011, Mayotte est un département et une région d’outre-mer. C’est aussi une région ultrapériphérique de l’Union européenne (UE) depuis 2014. Mayotte fait ainsi partie de l’UE. Il n’est pas lieu ici de discuter ces statuts. Mayotte ? 376 kilomètres carrés, une population d’environ 250 000 habitants, chiffre difficile à confirmer étant donné le poids des migrations clandestines, et une densité de plus de 600 habitants par kilomètres carrés (contre 98,8 pour la métropole). Mayotte, c’est quasiment la moitié de sa population venue de l’étranger, du fait de « la forte pression migratoire des îles voisines des Comores ». Seuls 22% des 18/24 ans nés à Mayotte le sont d’une mère native du département (Le Monde, 18 mai 2016 et chiffres Insee 2017). Toujours selon l’Insee, 50 % des non natifs sont en situation irrégulière. Près de la moitié de la population de ce département de la République française est composée d’immigrés clandestins.

Déjà, en mai 2016, l’ancien président Hollande évoquait une situation « extrêmement préoccupante », ainsi que l’impact de l’immigration clandestine sur le système de santé et le système scolaire de l’île – « complètement saturé » d’après Stéphane Le Foll, alors porte-parole du gouvernement. Selon lui, « les tensions liées aux migrations »conduisaient à des choses « inacceptables ». Il parlait de « tensions communautaires ».Ce que ne disaient pas Hollande ou Le Foll, c’est que l’immigration comorienne à Mayotte impacte aussi la métropole. D’après l’Insee, un jeune né à Mayotte sur deux quitte l’île. Les écoles de la métropole voient ainsi arriver des enfants et des adolescents souvent en grande difficulté scolaire, ou même déscolarisés. Pourquoi ? À Mayotte, les enfants sont scolarisés dans les écoles de la République mais une grande majorité commence ou termine sa journée scolaire à l’école coranique. La présence dans les salles de classe est alors souvent plus liée à la scolarisation obligatoire qu’au désir d’apprendre. En tout cas, elle est présence fatiguée, peu disponible pour les apprentissages. Ce qui ne peut qu’avoir une influence sur le niveau scolaire de ces enfants et adolescents, réalité qui apparaît quand ils intègrent des établissements scolaires métropolitains.

Je-m’en-foutisme et « kwassa-kwassa » complexes

La gestion de ce phénomène ? Silence et bricolage selon les bonnes volontés locales. Mais le niveau scolaire n’est pas le plus inquiétant. Selon le député Kamardine, toujours sur Causeur : « Il y a des velléités de radicalisation qui viennent de l’extérieur. Je ne comprends pas qu’on laisse venir des prédicateurs extrémistes qui ne sont pas Français. Des musulmans mahorais heurtés par des poussées extrémistes sont même allés jusqu’à détruire deux mosquées radicales face à l’inertie de l’Etat. Dans la fonction publique, il arrive que des barbus venus de métropole tentent d’embrigader les jeunes en toute impunité ! On est en train de détruire le modèle mahorais d’une communauté musulmane fière d’être Française ». Et de favoriser la venue en métropole de jeunes radicalisés inconnus des services. À quoi joue-t-on ?

À propos de Mayotte, l’actuel président de la République avait donné le ton lors de sa sortie sur les Comoriens début juin 2017. Une sortie alors qualifiée de « plaisanterie malheureuse » par l’Élysée. Emmanuel Macron évoquait les « kwassa-kwassa qui pèchent peu » mais « ramènent du comorien ». La pensée complexe du président atteignait là à une sorte d’acmé, confondant immigrants clandestins et poissons, oubliant que les kwassa-kwassa ou embarcations de fortune sont des modes d’entrée de l’immigration clandestine à Mayotte – en France, donc. Le mot « du » a produit un drôle d’effet. Outre leur côté discriminatoire, assimilables par exemple à des expressions douteuses tels que « du député En Marche, c’est du député incompétent », ces propos pouvaient laisser entendre une sorte de je-m’en-foutisme de la part du chef de l’État français vis-à-vis de l’un de ses départements.

De quoi la politique migratoire française est-elle réellement le nom ?

Face à la situation de Mayotte, la déclaration du député LR Mansour Kamardine ne peut qu’accroître l’inquiétude. Le gouvernement affirme vouloir lutter contre l’immigration clandestine, les kwassa-kwassa et le trafic d’êtres humains en mettant en place des visas gratuits entre les Comores et Mayotte, dans un cadre annoncé comme « contrôlé » (« regroupement familial, formation professionnelle… »). Si le député est monté au créneau, c’est que la réalité est plus complexe. Elle s’inscrit de fait dans une autre feuille de route, celle de la ministre des Outre-Mer, Annick Girardin, laquelle a annoncé fin août 2017 vouloir créer un « visa Outre-Mer » lui aussi contrôlé. La ministre ne parle pas seulement de regroupement familial et de formation professionnelle mais aussi « de déplacements pour des enjeux économiques, sanitaires et scientifiques ». Pour Mansour Kamardine, la mesure prise par Jean-Yves Le Drian, qui ne peut que « faciliter le regroupement familial », « aboutirait inexorablement, d’une part, à la régularisation massive des clandestins et, d’autre part, à accroître l’arrivée, en nombre, de nouveaux migrants, alors même que Mayotte est déjà submergée »« Une telle politique ne peut qu’exacerber les très vives tensions qui font de Mayotte une véritable poudrière sociale et sécuritaire », ajoute-t-il, regrettant que « pas un seul des représentants de Mayotte n’a été associé, ni même consulté, directement ou indirectement, sur cette feuille de route ».

Chacun jugera ce que les derniers mots du député disent de la fameuse « nouvelle façon de faire de la politique » annoncée à grands frais par Emmanuel Macron. Plus inquiétant est de prétendre résoudre la problématique migratoire dont souffre Mayotte par une facilitation des entrées légales, lesquelles viendront d’évidence s’ajouter aux entrées illégales – la France ayant amplement, ici comme à Calais, démontré son incapacité à faire respecter sa souveraineté. D’après le député, dont il faut rappeler qu’il est Mahorais et n’appartient à aucun groupuscule suprémaciste blanc, « on est dans une perspective d’envahissement ». Au fond, la véritable question est simple, et c’est celle dont la réponse est tenue au secret par l’actuel gouvernement comme par les deux précédents : de quoi la politique migratoire française est-elle réellement le nom ? Quelle est cette France de demain que ces politiques édifient sous nos yeux ? Au regard de la situation concrète sur le territoire métropolitain, la réponse commence à sérieusement se voir.

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