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6 mars 2018 2 06 /03 /mars /2018 10:00

Une blonde roule sur l'autoroute avec sa nouvelle Ferrari.Elle se fait arrêter par un policier.Il lui demande: 

Mais madame, pourquoi vous ne roulez que à 20km/h?Et la blonde répond:- C'est parce que sur le panneau il y a marqué A2

Alors le flic lui répond: Mais madame ça c'est le numéro de la route.La blonde dit: Ah bon !Le flic regarde du côté passager de la voiture et en remarquant la tête de la passagère dit à la blonde :- Mais dites donc, elle à pas l'air d'aller bien votre copine brune à côté !Et la blonde répond:- Ah ça doit être parce que qu'on vient de quitter l'A313.

Published by Un Sage
5 mars 2018 1 05 /03 /mars /2018 15:30

Une blonde roule sur l'autoroute avec sa nouvelle Ferrari.Elle se fait arrêter par un policier.Il lui demande:- Mais madame, pourquoi vous ne roulez que à 20km/h?

Et la blonde répond:- C'est parce que sur le panneau il y a marqué A20. Alors le flic lui répond:- Mais madame ça c'est le numéro de la route.La blonde dit:- Ah bon !

Le flic regarde du côté passager de la voiture et en remarquant la tête de la passagère dit à la blonde :- Mais dites donc, elle à pas l'air d'aller bien votre copine brune à côté !Et la blonde répond:- Ah ça doit être parce que qu'on vient de quitter l'A313

Published by Un Sage
4 mars 2018 7 04 /03 /mars /2018 16:11

Laeticia Hallyday déclare la guerre à David et Laura !

Laeticia Hallyday s’exprime enfin au sujet du testament de Johnny !

Il y a quelques semaines, la révélation du contenu du testament de Johnny Hallyday a eu l’effet d’une bombe. Et pour cause, dans ce testament, le rockeur a pris des dispositions qui ont surpris beaucoup de monde. En effet, dans ce testament, Johnny ne prend aucune disposition à l’égard de David et Laura ses enfants aînés et cède toute sa fortune à son épouse Laeticia. Dans ce testament, Johnny explique qu’il a déjà fait des dons et mis ses aînés à l’abris. Et cette annonce n’est pas bien passée auprès de David et Laura qui ont décidé de porter l’affaire devant les tribunaux car ils se considèrent comme déshérités.

Mais David et Laura pourront-ils avoir gain de cause ? Quel droit s’applique pour le testament de Johnny ? Le droit Français ou le droit américain ? Johnny était certes Français mais était résident de Californie. C’est cela que la justice va devoir déterminer afin de savoir si Laura et David peuvent espérer gain de cause. Mais quelle est la position de Laeticia Hallyday ?

 Laeticia Hallyday sort les griffes

Si Laeticia Hallyday était resté très silencieuse jusqu’à présent sur le sujet, son avocat Maître "Arda­van Amir-Aslanivient" d’envoyer aux rédactions Françaises les dernières informations concernant les positions de sa cliente. Et elles sont très claires. Manifestement, Laeticia ne lâchera pas et cela sonne comme une déclaration de guerre aux enfants du rockeur :

 L’avocat entend faire cesser les polémiques « face à la vague de propos diffa­ma­toires et de rumeurs nauséa­bondes.* »  » On ne lais­sera jamais dire que mon défunt client ait pu être une personne mani­pu­lée et pren­dra toutes les mesures néces­saires pour faire respec­ter toute la dignité de sa mémoire . »

 Il a été relayé dans la presse à plusieurs reprises que les enfants majeurs de Johnny Hally­day ont été déshé­ri­tés. Je réfute tota­le­ment ce terme menson­ger, mon défunt client ayant estimé avoir fait le néces­saire de son vivant pour mettre ses enfants majeurs à
l’abri du besoin. Laeti­cia Hally­day ne cédera ni aux manoeuvres d’in­ti­mi­da­tion, ni aux attaques inju­rieuses et attend que justice soit rendue afin de faire respec­ter les dernières volon­tés de son mari. « 

 La bataille juridique s’annonce donc longue et douloureuse. Le clan Hallyday n’a sans doute jamais été à ce point divisé.

*Nauséabondes :traduction ça sent bien la merde!!

***************

C'est bien connu

"Espoir de gain diminue la peine"

Proverbe français

 

 

 

Published by Un Sage
4 mars 2018 7 04 /03 /mars /2018 09:58

Le directeur de l'école convoque 3 élèves dissipés.

-Lucas, tu viendras samedi en colle pour avoir fait des graffitis sur le mur de la classe... Et toi aussi Théo, pour avoir mis des punaises sur la chaise du maitre...Et toi Kévin, qu'est-ce que tu as fait?

-J'ai jeté du carton par la fenêtre...

-La faute n'est pas trop grave;pour cette fois-ci tu ne seras pas puni...

Les 3 élèves quittent le bureau du directeur quand arrive un quatrième couvert de pansements.

-Qu-est ce qui t'est arrivé?

Comment t'appelles-tu?demande le directeur.

-Je m'appelle Ducarton, monsieur.............................

Published by Un Sage
3 mars 2018 6 03 /03 /mars /2018 15:49

Un conseil municipal ;le mercredi 21 février  expéditif, mené au pas  de charge en une heure!!

Un conseil qui semblait bien apaisé sans doute par l'absence de Pascal Casimir,"le trublion".

Il était présidé par le maire, qui semblant  guéri de sa septicémie, mais soufrait toujours de sa hernie discale et d'une sciatique persistante, l'obligeant à porter un corset rigide

Pas grand-chose à se mettre sous la dent, les grands  projets de développement de la cité (Nouvelle école, Auditorium, Ephad, Andrevetan  etc.....)ayant été soigneusement rangés au fond d'un placard inaccessible.ou secrètement  concoctés.

les questions abordées, des broutilles, le renouvellement d'une convention avec Alvéole pour la ramassage des papiers, l'effacement de dettes de mauvais payeurs, frais de fourrière ,redevance d'abonnement au marché hebdomadaire, et 35 € votée pour la protection sociale complémentaire du personnel communal.

Un morceau de choix, l'achat pour 750.000 € de l'ancien bâtiment de la "Savoisienne" un bâtiment "historique" de 1919. à l'unanimité des élus présents !!

Une aubaine pour celle-ci, qui cherchait en vain à s'en débarrasser, situé en bordure de route passante , sans parkings privatifs, avec des pierres de taille et une toiture tarabiscotée ,un gouffre à pognon !!

Les pierres de taille et la toiture !!!

Gouverner, c'est prévoir ; ne rien prévoir, c'est ne pas gouverner.
Citation de Emile de Girardin ; Pensées et maximes (1867)
 

 

 

 

Published by Un Sage
3 mars 2018 6 03 /03 /mars /2018 09:00

Mélenchon à l’école : fi donc !

Jean-Paul Brighelli

Ce mardi 27 février, Mélenchon, élu de la quatrième circonscription de Maseille, était longuement interviewé dans la Provence.
Le gros titre était sur la déclaration fracassante (en forme de porte ouverte que l’on enfonce), « Macron est l’ami des riches ». Cela ne m’aurait pas arrêté (sur le sujet, je recommanderai plutôt le livre de mon ami Gérard Filoche, tout récemment sorti, Macron ou la casse sociale, éditions de l’Archipel , Filoche avec qui Mélenchon signa jadis un livre, en 2000, quand ils cotisaient au même parti) si mes yeux ne s’étaient portés par hasard sur un bout de colonne, en bas de page, où le lider maximo du Vieux-Port et de ses environs (l’interview a été réalisée dans une gargote proche du quai des Belges) n’avait cru bon de ramener sa science sur l’éducation. Et pourquoi pas ? Après tout, il fut ministre délégué à l’enseignement professionnel, au temps lointain de Jospin et Jack Lang réunis.
Le problème c’est qu’à la question « Retirez-vous du positif dans la réforme de l’Education nationale ? », le grand manitou de la France insoumise répond, en toute décontraction :
« Le système qui se met en place dans les universités va créer une raréfaction de la ressource humaine intellectuelle du pays. C’est un système de marchandisation des diplômes par l’argent. Blanquer veut flatter l’ancienne génération dans la nostalgie du « c’était mieux avant ».
Ô Jean-Luc !
Deux remarques en incises.

1. À Marseille, on interpelle à la romaine , c’est le « ô » vocatif de nos vieilles versions latines , pas le « oh » ni le « ho » modernes. En toute logique, il faudrait écrire ainsi l’interjection si fréquente ici , « ô con ! ».
Et 2. Je me permets de t’appeler Jean-Luc parce que nous nous sommes rencontrés, et plus d’une fois, chez Jean-Claude Gawsewitch au moment où tu sortais, chez Balland, En quête de gauche , en 2007, quand je sortais moi-même Une école sous influence). Donc, cela étant précisé…
Ô Jean-Luc ! Tu galèjes ou quoi ? « Une raréfaction de la ressource humaine intellectuelle du pays » ?
Primo, une certaine dose de sélection en fac ne vise qu’à supprimer dès l’entrée ces 50% d’étudiants venus faire du tourisme, et qui se plantent en première année, aussi laxistes que soient les universitaires qui corrigent leurs torchons. Secundo, l’extension indéfinie de certaines filières « en tension », comme on dit dans ces milieux , STAPS, par exemple , est un mauvais service rendu depuis des années à des étudiants qui découvrent trop tard que les débouchés sont en nombre restreint. Et qu’on les a envoyés dans le mur.

Et notre député et futur candidat à la mairie , à moins qu’il préfère laisser Castaner s’y installer, Forcalquier étant devenu trop petit pour le délégué général de la République en marche, une-deux, une-deux, une-deux , de rajouter :
« L’école primaire a toujours été une réussite en France. On dit que 20% des élèves ne savent ni lire, ni écrire, ni compter ! On se demande même s’ils savent marcher ou parler ! Non, il y a des élèves qui ont des grosses difficultés en maths, d’autres en lecture, d’autres en écriture. Tous finissent par se rattraper. Blanquer prend la posture de l’autorité. Ses débats sur la blouse ou le téléphone ne sont pas sérieux. Ce sont des diversions. L’école se désarticule faute de moyens. »
On appréciera ce « on » qui en français désigne l’imbécile d’en face, à distinguer du « nous » plein de noblesse et de dignité. « On raconte que… mais nous savons bien… » Dans ce « on », il y a à peu près tout ce que la France compte d’enseignants lucides , allez, 80%, les 80% qui ont condamné dès le premier mot la réforme du collège de Vallaud-Belkacem (forte de sa juste appréciation des statistiques,
 Najat abandonne finalement l’édition et rejoint l’institut de sondages IPSOS , sûr que ce qui en sortira ne sera pas du pipeau).

Et si l’école maternelle marche encore assez bien, ce n’est pas là (et c’est bien dommage, mais tu devrais te tenir au courant) que l’on apprend le lire / écrire. C’est en CP , et la plupart des « professeurs des écoles » recrutés depuis 1989 et la création des IUFM y appliquent des méthodes d’apprentissage létales. L’idéo-visuel cher à Foucambert, Goigoux et autres malfaiteurs encravatés, c’est l’arme fatale d’extinction des plus démunis. Ce ne sont pas les « moyens » (tu cotises à FO ou à la CGT, dis-moi ? Ça promet, si tu te présentes à Marseille) qui font défaut, mais l’application de méthodes efficaces.
Mais évidemment, si tu es conseillé par Danielle Obono, 
qui pense que « Vive la France » et « Nique la France », c’est la même chose…

Eh non, ils ne finissent pas par « se rattraper ». Parce que dans les rues de Marseille, le même jour, j’ai photographié ça :

 

"NOUVELLE BoULANGERIE

VENNER  NOMBREUX

GOUTER A

NOS SPECIALITER"

 

 

Allez, Jean-Luc, je t’aime bien, bien que tu n’aies jamais voulu répondre à mes questions pendant la campagne. Et bien que tu sois entouré d’imbéciles (un joli mot à double sémantisme masculin / féminin) de première grandeur. Reviens sur terre : les gens qui n’ont pas appris à lire / écrire / compter aux mômes les ont servis tout crus ,et pour la vie, au néo-libéralisme que tu prétends combattre. Tu la joues dans le genre marxiste basique , « le facteur économique », tout ça… Mais ce n’est pas sur l’économie que ça se joue en ce moment : c’est sur la culture. Sur l’éducation. Mets un peu de maoïsme dans ton castrisme. Soit tu défends la nation, l’héritage français , l’héritage européen aussi, le latin par exemple, qui fut la lingua franca du continent (et même du Maghreb) bien avant que des crétins croient que nous devons quelque chose aux musulmans , soit tu capitules devant les puissances d’argent. Parce que les banquiers ne craignent qu’une chose : un soubresaut de la conscience populaire, un retour des nations. Et l’école, au sujet de laquelle tu dis de si grosses bêtises, est le pivot de la révolution à venir , ou de notre anéantissement.

Jean-Paul Brighelli

 

 

 

Published by Un Sage
3 mars 2018 6 03 /03 /mars /2018 08:00

C'est une femme qui va chez le médecin et qui lui dit :
- Docteur voila mon mari croit qu'il est invisible!
- Ah! Oui d'accord et ou est-il en ce moment ?
- Mais docteur il est en face de vous!

Published by Un Sage
1 mars 2018 4 01 /03 /mars /2018 15:00
L’Etat n’a rien à négocier avec l’islam en France
Vouloir unifier l’islam de France est une dangereuse utopie
par
Polytechnicien et haut fonctionnaire chargé de questions de sécurité intérieure.

 

 

Vouloir unifier l’islam de France est une dangereuse utopie: tous les islams ne sont pas compatible avec les valeurs de la République.


L’intention d’Emmanuel Macron de réorganiser le culte musulman en France est louable. Le bilan du Conseil français du culte musulman (CFCM) n’est qu’un constat d’échec : refus affiché des droits de l’homme, absence de légitimité aux yeux d’une grande partie des musulmans de France, ambiguïtés récurrentes, opacité, liens avec les Frères musulmans, « hallalisation des esprits »… Je crains cependant que notre président ne prenne le problème à l’envers : la question aujourd’hui n’est pas tant d’organiser le dialogue avec l’islam, que de savoir avec quel islam il est souhaitable et possible de dialoguer.

L’islam unifié n’existe pas

En France comme ailleurs, il n’y a pas un mais des islams. Et il serait catastrophique d’essayer de faire de tous les musulmans de France une communauté religieuse unique : c’est exactement ce que souhaitent les thuriféraires de l’islam politique, qu’ils soient salafistes, wahhabites, adeptes de l’État islamique, d’Al Qaïda ou des Frères musulmans. Pour eux, la solidarité entre « frères et sœurs en religion » est plus importante que tout, et c’est ainsi que de braves gens finissent par fermer les yeux sur la présence de terroristes parmi eux, et ont bien des scrupules à les condamner.

Nous devons, au contraire, lutter sans relâche contre tous ceux qui voudraient que l’appartenance à l’Oumma prenne le pas sur les convictions personnelles, et combattre toute forme d’assignation identitaire, qu’elle ait pour but d’unir les musulmans en une contre-société sécessionniste, de les rejeter en bloc, ou de les accepter sans distinction. Vouloir traiter de la même façon Rachid Benzine et Rachid Habou Houdeyfa (l’imam de Brest qui enseignait aux enfants que la musique est l’œuvre du diable) n’a absolument aucun sens, malgré leur prénom commun. Imaginer qu’Abdennour Bidar et Henda Ayari auraient le même représentant auprès des pouvoirs publics que Tariq Ramadan et Houria Bouteldja est une absurdité et une injure.

Un « islam de France unifié » serait probablement islamiste

En outre, il est très probable qu’un « islam de France unifié » serait aujourd’hui dominé (en influence si ce n’est en nombre) par le salafisme, celui des wahhabites ou celui des Frères musulmans, les uns et les autres ennemis déclarés de notre civilisation. Au sein de cette entité hypothétique, ce sont une fois de plus les musulmans humanistes développant une pensée critique vis-à-vis des dogmes et des textes qui seraient réduits au silence, alors que c’est d’eux et d’eux seuls que pourra naître un islam qui ne soit pas une menace. Sans oublier que ceux-là s’expriment généralement en tant qu’individus, et ne souhaitent probablement pas qu’un représentant communautaire quelconque parle en leur nom et à leur place. Prenons garde à ce que la voix d’une Leïla Babès ne soit pas submergée par les délires complotistes de centaines de Mennel !

Il ne faut rien attendre non plus d’un supposé « véritable islam ». Tout comme le « communisme réel » a systématiquement été une catastrophe, « l’islam réel » tel qu’on l’observe de nos jours là où les musulmans sont majoritaires est plutôt sinistre, que ce soit dans les pays de vieille tradition islamique ou dans les territoires perdus de la République. Le Coran lui-même contient des passages pour le moins problématiques dès lors qu’on les prend au premier degré – ce qui, hélas, est peut-être bien l’esprit dans lequel ils ont été écrits.

Quels islams en France ?

L’espoir est donc plutôt à rechercher du côté d’un renouveau de l’islam, porté aussi bien par des aspirations populaires que par des intellectuels, du courage lumineux de MyStealthyFreedom en Iran aux remarquables travaux de Yadh Ben Achour en Tunisie, en passant par l’engagement républicain d’Amine El Khatmi en France. Car, bons ou mauvais, les courants qui traversent l’islam dépassent très largement les frontières des nations.

Bien sûr, la question du financement des mosquées doit être posée, et rapidement résolue. Mais, j’insiste, cela ne servira à rien si nous ne nous demandons pas d’abord à quels islams nous voulons permettre de construire des mosquées sur notre sol, et auxquels nous devons l’interdire !

Tous les islams ne sont pas compatibles avec la France

Car il est inutile de se voiler la face : aucune coexistence pacifique durable n’est possible entre les droits de l’homme et la charia. L’objectif premier de l’État doit donc être de distinguer et séparer les communautés musulmanes qui adhèrent aux premiers, de celles qui veulent promouvoir la seconde. Le but n’est pas de négocier un équilibre précaire avec les représentants de courants supposés majoritaires, mais de travailler à une harmonie durable avec les musulmans véritablement humanistes, peu importe quelle proportion des croyants se reconnaît en eux.

Certains m’objecteront que ce « tri » opéré entre les islams, ceux qui seraient autorisés et ceux qui seraient interdits, serait une atteinte à la liberté de conscience. A ceux-là je répondrai d’une part que tri il y a déjà, puisque la France dispose de lois contre les dérives sectaires, et d’autre part que la liberté de conscience n’en est nullement touchée, puisque la distinction ne se fait pas sur les croyances, mais sur les comportements et les agendas politiques.

En effet, le vocable « islam » recouvre le plus souvent non seulement une religion, au sens occidental du terme, mais aussi un projet de société aspirant à régenter à la fois l’organisation politique et le quotidien des individus, jusque dans ses moindres détails, étouffant toute réflexion et toute conscience individuelles. Si la croyance en la dimension strictement religieuse de l’islam relève bien de la liberté fondamentale de chacun, la promotion du projet de société est incontestablement contraire aux valeurs de l’Occident, qu’on le comprenne au sens hellénistique, judéo-chrétien ou laïque (qui d’ailleurs se rejoignent assez largement dans ce qu’ils ont de meilleur).

La responsabilité de l’Etat c’est de rejeter la charia

Le rôle de l’État n’est pas de dire si l’islam sans la charia est encore l’islam. La question est importante mais concerne les historiens, les philosophes des religions et les théologiens. L’État a pour responsabilité de proclamer fermement que la charia n’a absolument pas sa place en France, peu importe qu’elle cherche à dominer par la force ou par l’influence culturelle, politique, médiatique, peu importe qu’elle montre dès l’abord son vrai visage ou qu’elle se dissimule dans des approximations souriantes en attendant d’avoir le pouvoir de s’imposer. Son rejet doit dépasser tous les clivages et faire consensus – à moins bien sûr d’en être complices, ou d’adhérer à un relativisme absolu – autre nom de la démission de l’intelligence et du sens moral.

Liberté de pensée et de conscience – donc droit à l’apostasie et refus des assignations identitaires ; mixité dans l’espace public ; égalité de droit entre hommes et femmes ; devoir pour les croyances quelles qu’elles soient de consentir aux analyses et aux critiques – donc droit au blasphème ; acceptation du pluralisme religieux – y compris du polythéisme et des religions non-abrahamiques ; universalisme plutôt que relativisme ; responsabilité et justice plutôt que concurrence victimaire ; humanité et citoyenneté plutôt que racialisme et communautarisme. Tout ceci n’est pas, et ne doit jamais être, négociable.

La charia et la sunna s’opposent à ces principes. Le Coran, si on le prend au pied de la lettre, s’oppose à ces principes. Les hadiths et la sîrah mettent en scène un prophète dont la vie s’oppose à ces principes. Et pourtant, des musulmans sont prêts à adhérer à ces principes et à les défendre, parce que leur humanité est plus profonde que les dogmes, et que les traditions des cultures islamiques sont plus riches que les textes fondateurs de l’islam. C’est avec ces musulmans, et uniquement avec ceux-là, que l’État doit discuter, peu importe qu’ils soient de France, en France, ou à l’étranger.

La France doit favoriser les musulmans humanistes

Que l’État commence par expliciter ces valeurs, au lieu de prétendre que la France ne serait qu’un espace géographique sans identité, et qu’il impose à toute organisation cultuelle ou culturelle en France de les défendre, et de les défendre vraiment, pas de les utiliser. Que l’État ne craigne plus d’affronter le CFCM ou la Grande mosquée de Paris, les Frères musulmans, les wahhabites, le Tabligh, le Milli Gorüs, et autres pourvoyeurs de pétrodollars ou de votes ethnico-religieux. Qu’il n’oublie pas qu’il peut aussi exister des courants extrémistes et sectaires dans d’autres religions, mais que l’islam politique est aujourd’hui le seul à représenter un véritable danger sur notre sol.

Que la France devienne un havre pour les musulmans humanistes de toutes nationalités qui partagent nos valeurs fondamentales, en leur garantissant la sécurité et la liberté d’expression, et en favorisant la diffusion de leurs travaux. Que la France soutienne l’exégèse, l’analyse historico-critique, la primauté donnée à la libre réflexion sur ce qui estplutôt qu’à la conformité avec des textes qui prétendent dire ce qui est. Qu’elle développe un enseignement qui ne soit ni diabolisation ni apologie éhontée de l’islam, mais présentation aussi factuelle que possible (et nous pouvons remercier la remarquable Souâd Ayada pour sa lucidité et sa détermination).

Je profite de l’occasion pour évoquer les travaux de philosophie de l’islam de Souâd Ayada, dont on trouvera une excellente présentation ici. Elle a notamment proposé une très intéressante analyse théologique de l’islam politique : « le monothéisme islamique ordonne deux approches et plus largement, deux métaphysiques incompatibles mais néanmoins simultanément inscrites en lui : 1. la première, entièrement subordonnée à la reconnaissance d’une transcendance séparée, dépouillée de toute immixtion avec le sensible et le multiple, inaccessible par essence et par excellence à l’ordre de l’humain, ne saurait produire qu’une vision du monde appauvrie et tronquée, dont la puissance négative culminerait dans ses retentissements juridico-politiques ; 2. la seconde, au contraire, veillerait à ménager la reconnaissance d’une dimension intermédiaire de la sensibilité, par le déploiement de la conception d’une transcendance engagée, c’est-à-dire manifestée sur un mode sensible, dans l’immanence du monde des créatures et que ne pourrait saisir qu’une capacité imaginative élevée à sa dimension visionnaire. »

Ensuite, et ensuite seulement, il sera temps de chercher des partenaires à la fois légitimes aux yeux des musulmans humanistes, dans la diversité de leurs approches et de leurs nuances, et crédibles aux yeux des pouvoirs publics et des non-musulmans. L’État n’aura pas à leur imposer une structure prédéfinie, mais à les accompagner dans la création de ce qu’ils estimeront opportun et adapté.

Nous découvrirons alors collectivement que l’organisation du culte ne sera plus un problème, et loin des ambiguïtés, des impostures et des manipulations d’aujourd’hui, leur parole – irriguée par leur foi et non pas desséchée par des dogmes – renforcera nos valeurs et consolidera le pacte républicain, aux côtés de bien d’autres religions et dans le respect de la laïcité.

 

Published by Un Sage
1 mars 2018 4 01 /03 /mars /2018 13:00

Le surdoué

Le petit Thomas demande à sa maîtresse s'il peut lui parler après le cours. Elle accepte.
-Alors, que veux-tu me dire Thomas ?
-Je pense être bien trop intelligent pour rester dans cette classe, je m'embête. Je voudrais directement passer au lycée. Sur ce, le directeur informé, demande à Thomas s'il veut bien passer des tests. Le gamin accepte sans hésiter.
Alors le directeur, pour clore l'entretien rapidement, commence le test.
- Voyons voir Thomas: 36x49 ?
- 1764 !
- Et 363x363 ?
- 131 769, Mr le directeur...
- Capitale du Liechtenstein ?
- Vaduz !
Le test continue pendant une demi-heure. Thomas ne fait aucune erreur.
A la fin du test le directeur est satisfait, mais la prof demande à son tour, si elle peut lui poser des questions.
Le gamin et le directeur acceptent, la prof commence:
- Bon, Thomas... la vache, elle en a 4 et moi j'en ai 2, qu'est-ce que c'est ?
- Les jambes, madame !
- Correct. 
- Où est-ce que les femmes ont les poils les plus frisés ?
Le directeur est de plus en plus gêné...
- En Afrique, madame ! 
- Qu'est-ce qu'on trouve dans tes pantalons et pas dans les miens ?
Le directeur ouvre des yeux surpris...
- Des poches, madame !
- Qu'est-ce qui est mou, mais qui devient dur avec les mains d'une femme ?
Le directeur est de plus en plus étonné, mais avant qu'il ait eu le temps de parler, le gamin répond:
- Le vernis à ongles, madame !
- Qu'est-ce que les hommes et les femmes ont au milieu des jambes ?
- Les genoux, madame !
- Bien. Et qu'est-ce qu'une femme mariée a de plus large qu'une femme célibataire ?
Le directeur n'en croit pas ses oreilles...
- Le lit, madame !
-Parfait , quelle est la partie de mon corps, qui est souvent la plus humide ?
- Votre langue, madame !
- Quel mot commençant par la lettre "c", désigne quelque chose qui peut être humide ou sec et que les hommes aiment regarder ?
- Le ciel, madame !
Le directeur soufflant, transpirant comme un sauvage, décide d'arrêter le test et s'exclame:
-Ce n'est pas au lycée que je vais t'envoyer, mais directement à l'université ! Même moi, j'aurais tout raté à ce test !

Moralité de l'histoire:
C'est avec l'âge que l'on devient pervers

 

 

Published by Un Sage
27 février 2018 2 27 /02 /février /2018 11:06

Brigitte Macron en fait-elle trop ?

 Lucie Oriol l

Implication dans l’éducation, rencontre avec les ministres, volonté d’être à côté de son mari et non derrière… Brigitte Macron entend bien incarner au maximum son rôle de Première dame, voire un peu trop ?

Brigitte Macron rend visite à la tapisserie de Bayeux, Brigitte Macron au chevet d’agricultrices, Brigitte Macron qui bouscule l’ordre protocolaire… La Première dame est très présente, au risque de saturer ?

Pour l’instant, juge Philippe Moreau-Chevrolet, spécialiste de la communication politique, la jauge limite n’est pas encore atteinte mais la Première dame doit rester vigilante surtout dans le modèle dont elle s’inspire, un modèle à l’américaine. "Elle a une communication quasiment calquée : mélange de pièces très chères et de pièces pas chères, cette volonté de s’investir dans l’éducation, comme Michelle Obama. Parce que c’est à l’américaine, ça nous paraît un peu too much", explique-t-il à Planet

Si Brigitte Macron paraît ultra présente, c’est aussi parce qu’elle est la première Première dame depuis très longtemps. Pour le spécialiste, elle est même la première depuis Carla Bruni, qui était d’ailleurs à l’époque plutôt la "première fan de son mari" : "Brigitte Macron doit donc en quelque sorte reconstruire le rôle de première dame, pour pouvoir continuer à être utile". Cet écart de 10 ans entre l’ancienne mannequin et la prof de français change aussi la donne pour les Français, comme le souligne Philippe Moreau Chevrolet. Résultat, Brigitte Macron est suspecte : "C’est le complexe de Lady Macbeth. Dès qu’il y a une femme un peu forte dans l’entourage d’un homme d’Etat, on la soupçonne de vouloir l’influencer, de faire la politique à sa place. C’est quelque chose de récurrent et c’est ce qui explique que le rôle de la Première dame est extrêmement fragile."

Protéger Brigitte Macron d’elle-même

Bien conscient du risque qu’il a pris en fonctionnant en binôme avec son épouse, Emmanuel Macron a voulu une charte de la Première dame, mise en place à l’automne dernier. "La charte répond surtout à la demande du public, pour qu’elle soit moins attaquable aux yeux du public […] L’idée c’était d’éviter que les polémique se déclenchent sur elle, sur son nom. Et la protéger autant que possible pour éviter qu’il se passe la même chose qu’avec Valérie Trierweiler."

D’ailleurs Emmanuel Macron ne peut pas avancer sans son épouse, elle représente aujourd’hui und partie importante de son image et de sa notoriété, notamment à l’étranger. C’est une stratégie pour laquelle elle a été partie prenante. "Elle est la spin doctor, c’est elle qui a pensé la stratégie de communication du président pendant la campagne. C’est sa première communicante, elle était à la manœuvre pour le rendre humain et sympathique. […] Avec un tel investissement, on ne voit pas comment elle ne pourrait pas être présente aujourd’hui", ajoute Philippe Moreau Chevrolet. Ce qui ne serait pas sans déclencher quelques crispations d'ailleurs...

Si certains Français s’agacent que la Première dame soit autant impliquée, même si cela reste dans le périmètre de la charte, en coulisses, à Paris, il se murmure que ses relations seraient parfois tendues avec l’équipe qui s’occupe de la communication de l’Elysée.

Des seuils d'alerte

Si un jour Brigitte Macron en faisait vraiment trop, c’est directement de la source que partiraient les premières alertes selon Philippe Moreau Chevrolet. "Plus le temps va passer, plus la pression va devenir forte sur les ministres parce que la popularité va s’éroder et c’est déjà le cas. L’opposition va se réveiller. Ce qu’il se passe alors en général, c’est un repli sur soi des équipes. On voit mal comment elle ne pourrait pas faire les frais de ça. S’il y a des attaques dans la presse, on dira qu’il y a une situation de crise au château. En général, les gens de l’Elysée règlent leurs comptes par article de presse. Tant que Brigitte Macron n’est pas attaquée par l’entourage ça tient", dit-il tout en soulignant le manque de mesure de popularité de la Première dame : "Tant qu’on n’a pas de sondage ou d’enquête d’opinion pour voir si elle est populaire, on a du mal à évaluer sa vraie marge de manœuvre. C'est encore un peu tôt".

Bien décidée à laisse sa trace à l’Elysée comme le démontre ses récentes initiatives – potager, intervention sur l’agenda de son mari, arrangement des appartements- Brigitte Macron va rapidement devoir se confronter à un défi de taille : ne plus simplement être l’épouse du candat devenu président mais devenir un personnage à part entière du "folklore français". En s’investissant dans des causes qui lui sont chères, c’est exactement ce qu’elle fait, s’assurant un parcours à la Bernadette Chirac, qui a réussi au fil des ans à se créer une vraie image éloignée de celle de son mari. Mais attention à ne pas se louper : "C’est un passage très glissant, ça peut rendre quelqu’un de vraiment impopulaire."

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Le Monchu Emmanuel y est-il un "gniagnIou" téléguidé por sa Brigitte;fénole barjaque ?

 

Published by Un Sage